Assistants et stagiaires
Sous la supervision du directeur, le personnel de l’Observatoire de la Francophonie économique contribue à la mise en œuvre des différentes activités et au bon fonctionnement de l’Observatoire.
Ancien(ne)s stagiaires et assistant(e)s de recherche
Alex Nguebou
D'origine camerounaise, Alex Nguebou est doctorant en sciences économiques à l’Université de Montréal. Il est également étudiant-chercheur affilié au Centre Interuniversitaire de Recherche en Économie Quantitative (CIREQ). Alex est titulaire de trois maîtrises en enseignement des mathématiques, en mathématiques et en statistiques et économie. Il compte plusieurs années d’expérience en tant qu'enseignant de mathématiques au secondaire, et en tant qu’assistant de recherche en statistique et en économie.
Ses principaux champs de recherche sont la macroéconomie, l’économie du développement, la dynamique des firmes et la finance (macroéconomique). Son parcours académique est parsemé de bourses et de distinctions.
Depuis le 11 octobre 2021, Alex effectue un stage à l’Observatoire de la Francophonie économique de l’Université de Montréal grâce à l’appui financier de LOJIQ - Les Offices jeunesse internationaux du Québec.
Camille Lauriol
Camille est actuellement étudiante à la Maîtrise en Études Internationales à l’Université de Montréal après avoir été diplômée d’une première Maîtrise au Centre International de Formation Européenne qu’elle a effectué entre Berlin, Nice et Istanbul.
Installée depuis près de 10 ans à Montréal, elle a auparavant fréquenté le Collège International Marie de France et a été diplômée d’un baccalauréat en psychologie à l’Université du Québec à Montréal. Elle a grandi près de Paris puis en Martinique pendant de nombreuses années.
Marine Sauron
D’origine française, Marine est candidate à la maîtrise en Études internationales à l’Université de Montréal. Auparavant, elle a complété un baccalauréat en Langues Étrangères Appliquées à l’Université de La Rochelle en France, parcours « Les Amériques », ce qui lui a permis de maîtriser l’anglais, le portugais du Brésil et l’espagnol mais aussi de comprendre les géopolitiques du continent.
Ses champs d’intérêts portent sur l’augmentation de la violence politique et la protection des droits de la personne en période de crises économiques et de transitions politiques.
Marine a plusieurs expériences professionnelles dont un stage en ONG et un autre plus récemment dans un institut, expérience qui lui a permis de découvrir les enjeux liés à la francophonie.
Edem Abbuy
Edem ABBUY est actuellement doctorant en sciences économiques à l’Université de Sherbrooke. Il est titulaire d’une maitrise en Économie-Finance de l’UQAM, d’un master en Économie internationale de l’Université de Lomé et d’un certificat en Analyse des politiques publiques de l’Université Laval. Ses champs de spécialisation en recherche portent sur la croissance, le commerce international et l’économie spatiale. Il est auteur d’articles publiés dans des revues scientifiques et travaille comme chercheur associé à Partnership for Economic Policy (PEP).
Edem cumule plusieurs années d’expérience professionnelle en qualité d’économiste à la fonction publique au Togo et au sein des représentations diplomatiques internationales comme l’Ambassade des États-Unis au Togo. Il est récipiendaire de plusieurs bourses de recherche du gouvernement Québec.
Edem effectue un stage à l'OFE grâce à un soutien financier de LOJIQ - Les Offices jeunesse internationaux du Québec.
Mathieu Bibeau-Leblanc
Mathieu Bibeau-Leblanc est présentement étudiant au programme de maitrise en affaires publiques et internationales à l’Université de Montréal. Il est diplômé en science politique et en anthropologie de l’Université de Montréal ainsi qu’en création littéraire de l’Université du Québec à Montréal.
Ses champs d’intérêt gravitent autour de l’étude des mécanismes des conflits civils, des politiques publiques en matière d’immigration et des groupes minoritaires, la consolidation de la paix et le développement durable.
Mathieu effectue un stage à l'OFE grâce à un soutien financier de LOJIQ - Les Offices jeunesse internationaux du Québec.
Firmin Ayivodji
Firmin Ayivodji est actuellement doctorant en sciences économiques à l’Université de Montréal (UdeM), chercheur affilié au Centre Interuniversitaire de Recherche en Économie Quantitative (CIREQ) et à l’Institut d’Études Fiscales basé au Royaume-Uni. Il est titulaire d’un diplôme d’Ingénieur Statisticien Économiste à l’École Nationale de la Statistique et de l’Analyse Economique (ENSAE), membre du réseau des Écoles de Statistique Africaines.
Ses principaux champs de recherche portent sur l’économétrie théorique, la macroéconométrie, le machine Learning, les finances empiriques et les politiques publiques. Il a à son actif plusieurs publications scientifiques portant sur les questions de croissance inclusive, le capital humain, la vulnérabilité fiscale des pays exportateurs des matières premières, la dette privée et publique, etc.
Firmin a cumulé aussi quelques années d’expériences dans l’administration publique de son pays le Bénin, et au sein des institutions internationales et financières notamment la Banque mondiale et le Fonds monétaire international. Dans le milieu académique, il a enseigné sur la période allant de 2014 à 2020 dans plusieurs universités et grandes écoles au Bénin, au Sénégal et au Canada. Son parcours académique est parsemé aussi de plusieurs bourses et de distinctions des gouvernements canadien, québécois, français et béninois.
Cheikh Nokho
Cheikh Nokho poursuit son doctorat en sciences économiques à l’université de Montréal. Il est affilié au Centre Interuniversitaire de Recherche en Économie Quantitative (CIREQ). Il est Statisticien économiste de l’École Nationale de la Statistique et de l’Analyse Économique (ENSAE), membre du réseau des écoles de statistique africaines (ESA). A l’Observatoire de la Francophonie économique de l'Université de Montréal, il travaille sur le projet de veille sur l’impact économique du COVID-19.
Lauriève Ménard
Lauriève Ménard est actuellement candidate à la maîtrise en affaires publiques et internationales à l’Université de Montréal. Elle a auparavant complété un baccalauréat en finance et commerce international à HEC Montréal. Ses champs d’intérêt sont notamment les relations internationales, l’analyse de risques transversales et l’investissement étranger.
En plus de son rôle d’assistante de recherche stagiaire à l’Observatoire de la Francophonie économique de l'Université de Montréal, elle travaille comme analyste au sein du Cabinet de relations publiques National, équipe des solutions intégrées.
Lauriève est soutenu par LOJIQ - Les Offices jeunesse internationaux du Québec.
Blaise Boton
Blaise Boton est doctorant en économie à l’Université Laval, Québec. Originaire du Bénin, il est titulaire d’un Master de recherche en économie numérique de l’université Paris-Dauphine et d’un Master professionnel en analyse économique et développement international, spécialité gestion de la politique économique, obtenu au CERDI-Université d’Auvergne.
Ses recherches portent sur l’économétrie appliquée, l’économie du travail et l’économie numérique.
Sur le plan professionnel, Blaise totalise une douzaine d’années d’expérience de travail dans des organismes gouvernementaux et internationaux en analyse de politiques économiques et en suivi-évaluation de projets-programmes. Entre autres responsabilités, il a occupé les fonctions de Conseiller technique à l’économie et au suivi-évaluation à la Fondation suisse pour la coopération technique (Swisscontact) au Bénin, et de Planificateur à la Cellule de suivi-évaluation du ministère de l’économie numérique et de la communication du Bénin.
Blaise est soutenu par LOJIQ - Les Offices jeunesse internationaux du Québec.
Hanen Ben Said
Hanen Ben Said est doctorante en relations industrielles à l’Université de Montréal; sa majeure est en gestion des ressources humaines. Elle est actuellement affilée au Centre de recherche interuniversitaire sur la mondialisation et le travail (CRIMT). Auparavant, Hanen a obtenu un mastère de recherche en management et organisation de l’Université de Tunis El Manar en Tunisie.
Ses champs d’intérêt portent, entre autres, sur la gestion des ressources humaines dans les entreprises multinationales, les stratégies d’affaires, les relations de travail, l’évolution des politiques publiques du travail et de l’emploi, les études comparatives et la recherche qualitative.
Hanen compte plus de six années d’expérience professionnelle en tant qu’auxiliaire d’enseignement et de recherche, et conseillère en gestion des ressources humaines.
Moudachirou Oumarou
D’origine béninoise, Moudachirou Oumarou est actuellement doctorant en sciences économiques à l’Université de Montréal et affilié au Centre Interuniversitaire de Recherche en Économie Quantitative (CIREQ). Il s’intéresse aux questions relatives à l’économie internationale et monétaire ainsi qu’aux changements climatiques.
Après sa licence en Statistique à l’Ecole nationale d’Economie appliquée et de Management (ENEAM), il a intégré l’Ecole nationale de la Statistique et d’Analyse économique (ENSAE) de Dakar où il a obtenu le diplôme d’Ingénieur Statisticien Economiste (ISE). Ensuite, il effectué un stage à la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO).
Idossou Marius Adom
Idossou Marius Adom est originaire du Bénin où il a obtenu un diplôme de technicien supérieur de la statistique en 2014. En 2017 il a obtenu le diplôme d’Ingénieur Statisticien Économiste à l’ENSAE de Dakar (Sénégal).
Actuellement il est étudiant au doctorat en sciences économiques à l’Université de Montréal, étudiant-chercheur affilié au Centre Interuniversitaire de Recherche en Économie Quantitative (CIREQ), et il occupe aussi des postes d’auxiliaire d’enseignement et d’assistant de recherche.
Sa thèse porte sur les impacts de la lourdeur administrative et des délais d’attente inhérents sur la performance des entreprises et le bien-être social en Afrique Subsaharienne.
Ses champs de recherche sont la macro-développement, l’économie du développement et l’économie du travail. Il a à son actif deux publications scientifiques en économie; et son parcours académique est parsemé de plusieurs bourses et de distinctions.
Axelle GUTIERREZ-GARY
Étudiante en dernière année à l’ESSEC Business School (France), Axelle collabore avec l’Observatoire de la Francophonie Économique dans le cadre de son stage à l’Agence Universitaire de la Francophonie. Elle participe au développement de la stratégie de communication de l’OFÉ et travaille au recueil de données pour son mémoire de fin d’études qui porte sur le développement d’une entreprise à l’étranger avec l’usage exclusif du français.
Geneviève Grandmont
Geneviève Grandmont est candidate au doctorat à l’École de relations industrielles de l’Université de Montréal. Elle est titulaire d’une maîtrise et d’un baccalauréat en relations industrielles de la même université.
Ses champs d’intérêt incluent les politiques publiques, notamment celles qui touchent l’incitation financière au travail, l’équité salariale, les inégalités de revenu et l’immigration. De plus, elle s’intéresse à la gestion des ressources humaines et aux relations de travail. En effet, au cours de sa maîtrise, elle a travaillé sur l’évolution des clauses de conciliation travail-famille dans les conventions collectives et sur l’évaluation des pratiques de formation en milieu de travail.
Cumulant plus de 10 ans d’expérience de travail en gestion des ressources humaines, Geneviève a développé une expertise en formation et développement des employés. Depuis, elle travaille dans le milieu académique comme chargée de cours en perspective économique des institutions et en convention collective. De plus, elle est auxiliaire d’enseignement pour les cours de méthodologie et analyse de données, pratique de négociation collective, et emploi et salaire.
Enfin, Geneviève a œuvré pour le Centre d’études ethniques des universités montréalaises (CEETUM), ce qui consistait entre autres à coordonner l’école d’été sur l’immigration, l’intégration et la diversité sur le marché du travail.
Christiane Liliane Kammogne
D’origine camerounaise, Christiane Liliane Kammogne est doctorante en relations industrielles à l’Université de Montréal. Elle est titulaire d'une licence en sciences économiques de l'Université de Yaoundé 2 (Cameroun) et d’une maitrise en ressources humaines de l’Université de Corse-Pascal-Paoli (France).
Ses champs d’intérêt incluent les inégalités de santé mentale au travail, la situation des immigrants et des minorités visibles sur le marché de l’emploi, et les politiques d’insertion sur le marché de l’emploi.
Christiane a cumulé des expériences en tant qu’auxiliaire de recherche au sein de plusieurs centres de recherche dont le Centre d’études ethniques des universités montréalaises (CEETUM).
Leslyne Ndjaba
D’origine camerounaise, Leslyne Ndjaba est titulaire d’un master de recherche en économie fondamentale appliquée et d’un master professionnel en analyse de projets et évaluation des politiques de l’Université de Caen, en France. Elle poursuit présentement ses études au programme de maîtrise en sciences économiques de l’Université de Montréal. Ses champs de spécialisation sont l’économétrie, la modélisation microéconomique et l’évaluation des politiques publiques. Ses compétences s’appliquent principalement aux domaines du développement économique et des politiques environnementales. Avant d’intégrer l’OFE, Leslyne Ndjaba a cumulé plusieurs expériences en tant qu’assistante de recherche dans divers organismes de recherche (Paris School of Economics, J-Pal Europe et École nationale du génie de l’eau et de l’environnement de Strasbourg (ENGEES).
Tite Tshibangu
Originaire de la République du Congo, Tite Tshibangu est titulaire d’un master professionnel en analyse économique et développement international de l’Université d'Auvergne, en France. Il poursuit présentement ses études au programme de maîtrise en sciences économiques de l’Université de Montréal. Ses champs de spécialisation sont la macroéconomie, la finance et l’économétrie. Ses champs d’intérêt en recherche se rapportent aux systèmes financiers, aux inégalités de revenu, à la lutte contre la pauvreté et au développement du secteur privé dans les pays en voie de développement. Tite Tshibangu a acquis une riche expérience en tant qu’analyste et gestionnaire du changement à la Banque Centrale du Congo et en tant que consultant à la Banque mondiale à Washington, D.C.