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/ Observatoire de la Francophonie économique

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Collaboratrices et collaborateurs

Le réseau de collaboratrices et collaborateurs de l’OFE comprend les membres de son comité scientifique et des économistes chevronnés provenant, pour l’essentiel, du milieu universitaire francophone. Ils comptent une longue feuille de route dans le domaine de la recherche et de l’analyse des politiques socioéconomiques.

Les collaboratrices et collaborateurs contribueront au rayonnement de l’OFE; ils participeront à la réalisation de ses programmes de recherche, aux différentes activités de recherche, d’évaluation et de transfert des connaissances et aux événements organisés par l’OFE. Ils font également partie du réseau d’experts auxquels pourront faire appel des organisations internationales, des gouvernements ou des organismes privés désireux d’étudier des enjeux économiques d’actualité.

Le réseau de collaboratrices et collaborateurs comprend les chercheuses et chercheurs suivants : 

Touhami Abdelkhalek

Institut National de Statistique et d’Économie Appliquée (INSEA)

Rabat, Maroc

 

Touhami Abdelkhalek est professeur titulaire de l’Enseignement supérieur à l’Institut National de Statistique et d’Économie Appliquée (INSEA) de Rabat, au Maroc. Il a obtenu un doctorat en sciences économiques de l’Université de Montréal. Ses domaines de spécialisation sont l’économétrie, la modélisation économique, le capital humain, le développement et la croissance. Il a réalisé plusieurs études pour la Banque mondiale et agit comme chercheur et professeur invité à l’Institut Arabe de Planification du Koweït. Il a travaillé, entre autres, sur la pauvreté et les facteurs d’exclusion sociale (Maroc) et sur les mesures et le diagnostic de la pauvreté (Institut de la Banque mondiale, Mali et Niger). Il a de plus dirigé le travail de plusieurs étudiants aux études supérieures.

Akoété Ega Agbodji

Université de Lomé

Lomé, Togo

 

Akoété Ega Agbodji est titulaire d’un doctorat en économie publique de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar obtenu en 2006. Il a été directeur du département des sciences économiques à la Faculté des sciences économiques de l'Université de Lomé de 2009 à 2013. Ensuite, M. Agbodji a occupé pendant six ans le poste de doyen de la même faculté. Dans le cadre de ses activités académiques, il a à son actif plusieurs publications scientifiques dans son champ de spécialisation. Il a également a dirigé plusieurs thèses de doctorat.

Henri Atangana Ondoa

Université de Yaoundé II

Soa, Cameroun

 

Henri Atangana Ondoa est agrégé en sciences économiques depuis novembre 2015. Il a soutenu son doctorat en économie en 2009 à l'Université de Yaoundé II, en collaboration avec le Consortium pour la recherche économique en Afrique (CREA). Actuellement, il cumule les fonctions d’enseignant, de directeur du Centre d'Études et de Recherche en Gouvernance de l'Enseignement Supérieur et de coordonnateur du master en gouvernance universitaire de la Faculté des Sciences Économiques et de Gestion de l'Université de Yaoundé II. Ses domaines de spécialisation sont l’économie publique, l’économie de l'éducation, l’économétrie, les institutions et l’économie du développement. Il a participé à plusieurs études pour divers organismes : le PNUD, le CRDI, la CEA, Afrobaromètre et Rio Tinto Alcan (RTA). Il a publié plusieurs articles scientifiques dans de grandes revues et a suivi des stages dans des organismes internationaux tels le FMI, la CNUCED et le CREA. Il a aussi participé à plusieurs conférences à l'échelle nationale et internationale. Henri Atangana Ondoa est membre du comité scientifique de l'Observatoire économique de la Chambre de commerce, d'industrie, des mines et de l'artisanat du Cameroun.

Désiré Avom

Université de Dschang

Dschang, Cameroun

 

Désiré Avom est professeur agrégé et professeur titulaire en économie. Il est actuellement doyen de la Faculté des Sciences Économiques et de Gestion de l’Université de Dschang, au Cameroun. Il possède une longue expérience en consultation auprès d’organisations internationales (Banque mondiale, PNUD, Banque des États de l’Afrique centrale, Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), Commission économique de l’Afrique centrale, etc.). Dans le domaine de la recherche, plusieurs de ses articles ont été publiés dans des revues internationales à comités de lecture. Il a dirigé plus de 15 thèses et une centaine de mémoires de recherche et professionnels. Ses recherches portent notamment sur les politiques économiques, le commerce international, le marché du travail, la pauvreté et l’intégration.

Mohamed Ayadi

Université de Tunis

Tunis, Tunisie

 

Mohamed Ayadi est professeur d’économie à l’Institut supérieur de gestion (ISG) de l’Université de Tunis. Il est également directeur de l’Unité d’Analyses Quantitatives Appliquées (UAQUAP). Il a encadré la rédaction de plus de 25 thèses et publié plus de 30 articles sur les thèmes de l’économie du développement. L’économie de l’éducation et du système éducatif figurent aussi parmi ses centres d’intérêt. Ses articles ont paru dans les publications suivantes : Journal of African Economies, International Journal of Educational Development, The Journal of Development Studies, Revue d'économie industrielle, Middle East Development Journal, International Journal of Social Welfare, Economics Bulletin, Structural Change and Economic Dynamics, Revue économique, Journal of Business & Economics, Panoeconomicus, L’Actualité économique, Empirical Economics et Swiss Journal of Economics and Statistics.

Salwa Bahyaoui

Université Mohammed V de Rabat

Rabat, Maroc

 

Salwa BAHYAOUI est, depuis 1995, professeure chercheuse à la faculté des sciences juridiques, économiques et sociales-Agdal, affiliée à l’Université Mohammed V de Rabat (UM5R). Titulaire d’un doctorat en sciences de gestion, elle travaille principalement sur des thématiques liées à la performance des organisations. Elle est membre permanent du Centre Interdisciplinaire de Recherche en Performance et Compétitivité (CIRPEC) où elle participe à des projets et encadre des travaux liés à son domaine de recherche.

Son champ d’intérêt s’étend également à l’entrepreneuriat des jeunes. A ce titre, elle est certifiée facilitatrice nationale en entrepreneuriat dans le cadre du programme « CLE : Comprendre L’Entreprise : » porté par le projet « Jeunes au travail » de l’OIT. Elle est membre active du Centre Universitaire de l’Entrepreneuriat (CUE) de l’UM5R où elle assure des sessions de formation et de coaching au profit des jeunes porteurs de projets.

Ali Béjaoui

Université du Québec en Outaouais

Gatineau (Québec), Canada

 

Ali Béjaoui est détient un doctorat en Relations industrielles de l’Université de Montréal et une maitrise en sciences économiques de l’Université d’Ottawa. Il est professeur agrégé au département de relations industrielles à l’Université du Québec en Outaouais (UQO) depuis 2006. Avant de se joindre à l’UQO, professeur Béjaoui a occupé plusieurs postes d’analyste principal et de gestionnaire dans la fonction publique fédérale canadienne, notamment à la Commission de la fonction publique, au ministère de Développement des Ressources humaines et au bureau du Conseil privé. Ses travaux de recherche portent sur le vieillissement de la main-d’œuvre, l’intégration des immigrants sur le marché du travail, et l’évaluation des politiques publiques de main-d’œuvre et de revenu. Professeur Béjaoui est un chercheur associé au Centre interuniversitaire de recherche en analyse des organisations (CIRANO) et membre régulier de la chaire de recherche sur l’intégration et la gestion des diversités en emploi (CRIDE).

Mounia Benalil

Société civile

Montréal (Québec), Canada

 

Mounia Benalil détient un doctorat en études interculturelles et théories postcoloniales de l'Université de la Colombie-Britannique et complète une maîtrise en administration publique à l’École nationale d’administration publique de Montréal. Elle a mené plusieurs recherches subventionnées par le Fonds de recherche du Québec – Société et culture, le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada et le Secrétariat aux affaires intergouvernementales canadiennes sur des enjeux liés à l’orientalisme, à la Francophonie dans la mondialisation, au vivre-ensemble et à l’interculturel. Elle est aussi l'auteure de plusieurs publications scientifiques.

Elle accorde une place de choix à l’interface entre la recherche et l’action publique dans le champ des sciences sociales et s’intéresse à l'application du savoir aux enjeux sociaux par le biais de la recherche-action et par l’évaluation des impacts et des considérations légales et politiques sur les projets. Elle a travaillé avec plusieurs acteurs de la société civile dans la conduite de projets structurants pour la communauté et agit également en tant que Commissaire aux consultations publiques au sein de l’Office de consultation publique de Montréal depuis sa nomination en 2016.

Hajar Benmakhlouf

Université Internationale de Casablanca

Casablanca, Maroc

Hajar BENMAKHLOUF détient un doctorat en Sciences de Langue et de Linguistique Appliquée de l’Université Pompeu Fabra de Barcelone en Espagne. Elle est professeure–chercheuse à l'Université Internationale de Casablanca au Maroc, et experte de l’enseignement de l’espagnol comme langue estrangère, de l’intelligence émotionnelle et de la santé et sécurité du travail. Depuis 2003, Hajar a participé à l’organisation de plusieurs colloques et séminaires pour le compte des administrations publiques et pour le milieu académique. Elle a également participé à plusieurs événements scientifiques en lien avec ses domaines de recherche. Entre 2003 et 2009, elle a travaillé comme médiatrice et traductrice auprès de l’administration espagnole au profit des immigrants marocains. Elle a aussi donné une formation sous le thème « Femme et Développement » à l’Institut Universitaire des Etudes de La Femme (Université de valence – Espagne) au profit des femmes en situation précaire (mamans célibataires, veuves, divorcées et immigrantes). La formation comprenait un accompagnement socioéconomique en vue d’aider ces femmes à surmonter leurs problèmes. La plus récente publication de Hajar s’intitule « Le stress négatif : risque psychosocial majeur en entreprise ».

Maude Boulet

École nationale d’administration publique

Québec, Canada

 

Maude Boulet enseigne la gestion des ressources humaines à l’École nationale d’administration publique (ENAP) et se spécialise dans les thématiques qui ont trait à l’équité en emploi. Elle a obtenu un doctorat en relations industrielles de l’Université de Montréal en 2013. Sa thèse portait sur l’évolution de la qualité d’emploi des immigrants comparativement aux natifs au Québec, en Ontario et en Colombie-Britannique. Elle est aussi titulaire d’un baccalauréat en psychologie de l’Université de Montréal. De 2012 à 2015, elle a travaillé comme professionnelle de recherche à la direction des statistiques du travail et de la rémunération de l’Institut de la statistique du Québec, où elle a développé son intérêt pour l’équité de genre et la conciliation emploi-famille. De 2015 à 2017, elle a poursuivi ses travaux sur ces thèmes en tant que chercheuse au postdoctorat à la Chaire de recherche du Canada en statistiques sociales et changement familial du Département de sociologie de l’Université McGill.

Oumar Bouaré

Centre de Recherche en Sciences Economiques et Sociales

Bamako, Mali

 

Oumar Bouaré est directeur du Centre de Recherche en Sciences Economiques et Sociales à Bamako (Mali) et membre du Réseau Think Tank de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). Auparavant, il a été coordonnateur de la Cellule d’Analyse et de Prospective à la Primature du Mali et professeur extraordinaire et stratégique planificateur à l’Université de Prétoria, ainsi que chef chercheur spécialiste au Conseil de Recherche en Sciences Humaines (HSRC) à Prétoria. Il détient un doctorat en mathématiques, un Ph. D. en économie et un DEA en philosophie. Il a publié sur des thèmes variés. En 2017, il a publié « Comparing Countries’ Life Satisfaction and Their Level Curve of Life Satisfaction over Time: an Analytical Framework » dans Psychology. Il a également publié la même année « Économie verte en Afrique de l’Ouest : comment surmonter la hausse du chômage dans le Mali rural » en tant que document de travail de la United Nations University − Institute for Natural Resources in Africa. En outre, il a publié deux livres : International Trade Revisited: from the Cost Paradigm to the Profit Paradigm (CreateSpace, 2018) et Recueil de primitives de fonctions usuelles et particulières (éditions La Sahélienne, 2016). Enfin, M. Bouaré a été président d’une session de la Eastern Economic Association des États-Unis de 2000 à 2003.

Jad Chaaban

Université américaine de Beyrouth

Beyrouth, Liban

 

Jad Chaaban est professeur agrégé d'économie à l'Université américaine de Beyrouth (AUB). Ses principaux champs d’intérêt en recherche sont l'économie du développement et l'organisation industrielle. Ses intérêts élargis comprennent l'économie de la santé, l'éducation et les politiques du travail, en plus de l'économie agricole et environnementale. Ses recherches interdisciplinaires ont été publiées dans plusieurs revues scientifiques en économie, en études régionales, en démographie, en politiques agricoles et en santé publique. Jad Chaaban a également agi en tant que conseiller politique économique dans divers ministères libanais et organismes publics. Avant de se joindre à l'AUB en septembre 2006, il était économiste au bureau régional de la Banque mondiale au Moyen-Orient, où il a mené des recherches sur la réduction de la pauvreté et la gestion économique au Liban, en Syrie, en Jordanie et en Égypte. En 2014-2015, il a été l'auteur principal du Rapport sur le développement humain dans le monde arabe du PNUD 2016. Jad Chaaban est titulaire d'un doctorat en économie de la Toulouse School of Economics (TSE), en France.

Siham Chibani

Université Internationale de Casablanca

Casablanca, Maroc

 

Siham CHIBANI est professeure–chercheuse à l'Université Internationale de Casablanca au Maroc, coach certifiée en Développement Personnel et Estime de soi, et experte en psychologie du travail. Elle détient un doctorat en Sciences de l’éducation, et est spécialiste en PNL et en dynamique de groupe. Elle enseigne des cours dans plusieurs domaines dont la psychosociologie, la psychologie du travail, la psychpédagogie, et le comportement individuel et de groupe. En 2007–2008, elle a occupé le poste de médiatrice culturelle, artistique et scientifique au Goethe Institut de Rabat. Entre 2011 et 2014, elle a été chef du département « Formation et Insertion Professionnelle » à la Fondation Internationale Orient-Occident de Rabat. Consultante dans un cabinet de recrutement reconnu à Casablanca ; elle réalise des entretiens de recrutements, des tests psychotechniques, des rapports et des bilans.

Marie-Thérèse Chicha

Université de Montréal

Montréal (Québec), Canada

Marie-Thérèse Chicha détient un doctorat en Sciences économiques de l’Université McGill. Elle est professeure titulaire à l’École de relations industrielles et titulaire de la Chaire en Relations Ethniques de l’Université de Montréal. En raison de son engagement dans la lutte contre les discriminations et l’égalité des femmes, elle a reçu en 2015 le Prix du gouverneur général du Canada en commémoration de . En novembre 2019, elle a reçu le Prix ACFAS Pierre-Dansereau de l’engagement social. En février 2020, elle a reçu le prix Égalité Thérèse-Casgrain, catégorie Hommage, du gouvernement du Québec.

Marie-Thérèse Chicha a écrit plusieurs articles et ouvrages sur les thèmes suivants : la discrimination systémique en emploi, les politiques d’accès à l’égalité et d’équité salariale, la déqualification des immigrants, les politiques d’immigration et d’intégration en emploi des immigrants, la gestion de la diversité.

De 2004 à 2015, elle a agi comme experte en matière d’égalité auprès de l’Organisation internationale du travail. Elle a été invitée comme experte en matière d’égalité par divers gouvernements et partenaires sociaux : Allemagne, France, Danemark, Belgique, Suède, Maroc, Royaume-Uni, États-Unis ainsi qu’au Portugal et en Ukraine dans le cadre du programme EQUAL de l’Union européenne.

Edmond Chidiac

Université Saint-Joseph de Beyrouth

Beyrouth, Liban

 

Edmond Chidiac est professeur associé en Histoire – Relations internationales. Titulaire d’une maitrise en Sciences économiques de l’USJ et d’un doctorat en Histoire contemporaine de l’INALCO (Paris), sa thèse a porté sur la gestion économique de la Syrie et du Liban par le mandat français entre 1920 et 1946. Il s’est spécialisé dans les problématiques liées à l’histoire économique et sociale au Moyen-Orient et les réseaux migratoires, notamment la diaspora libanaise en Amérique, en Australie et en Afrique. Il est l’auteur de nombreux articles sur l’histoire économique du Liban. Nommé directeur du Service de l’Insertion professionnelle à l’USJ en 2013, il a développé des structures de formation à l’entrepreneuriat à l’USJ et tente de les intégrer dans des réseaux européens et africains.

Massa Coulibaly

Université des Sciences Sociales et de Gestion de Bamako

Bamako, Mali

 

Massa Coulibaly est docteur en économie mathématique et économétrie de l'université Paris 2 en France. Il est enseignant-chercheur à l’Université des Sciences Sociales et de Gestion de Bamako, où il enseigne les techniques quantitatives et la méthodologie de recherche, ainsi qu'au Groupe de recherche en économie appliquée et théorique (GREAT), groupe dont il est membre fondateur et directeur général. Ses travaux de recherche portent, entre autres, sur les enquêtes auprès des ménages, les études d'impacts, l'intégration économique régionale, la gouvernance, l'économie locale et les politiques économiques de développement et de réduction de la pauvreté. Dans le cadre des activités spécifiques du réseau Afrobaromètre, dans lequel il travaille depuis La Série 1 (1999-2001) en tant que coordinateur national pour le Mali, Massa est représentant des pays partenaires francophones au Comité exécutif dudit réseau et, à ce titre, il travaille en étroite collaboration avec les gestionnaires de programmes pour la planification et l'exécution des activités de terrain.

Jean-Michel Cousineau

Université de Montréal

Montréal (Québec), Canada

 

Jean-Michel Cousineau est économiste et professeur titulaire à l’École de relations industrielles de l’Université de Montréal. Il est spécialiste en économie du travail, en économétrie et en politiques publiques. Il a été président du Comité des politiques publiques de l’Association des économistes québécois pendant de nombreuses années et membre du Centre d’études sur la pauvreté et l’exclusion de 2006 à 2012. Ses champs d’intérêt en recherche et ses publications les plus récentes portent sur la pauvreté, les inégalités de revenus et les politiques publiques en matière de croissance inclusive. Ses principales contributions et ses publications scientifiques ont porté sur le salaire minimum, l’assurance-emploi et les programmes de soutien du revenu au Québec, au Canada et ailleurs dans le monde. Plus récemment, il a été membre d’un comité de trois experts nommés par le gouvernement du Québec pour se pencher sur le revenu minimum garanti. Les volumes 1 et 2 de ce rapport ont paru en novembre 2017. Le volume 3, qui présente des simulations, a été publié en mars 2018.

Ibrahima Thione Diop

Université Cheikh Anta Diop

Dakar, Sénégal

 

Ibrahima Thione Diop est titulaire d’un doctorat de 3e cycle en monnaie, finance et banque et d’un doctorat nouveau régime en économie internationale de l’Université Pierre-Mendes-France, à Grenoble. Il enseigne l’économie monétaire internationale, l’économie des finances publiques et le système financier international depuis plus de 20 ans à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Il a été chef du Département d’analyse et de politique économiques de la Faculté des sciences économiques et de gestion de cet établissement et directeur du Centre de recherches économiques appliquées (CREA).

Oumarou Faroukou Djibo

Université de Tahoua

Tahoua, Niger

 

Oumarou Faroukou Djibo est docteur en sciences économiques. Il est enseignant-chercheur à la Faculté de Droit, d’Economie et de Gestion (FADEG) de l’Université de Tahoua au Niger. Ses recherches portent sur l’analyse économique du développement. Il s’intéresse principalement à l’efficacité des Institutions de Microfinance (IMF) et à la microfinance islamique. Il assiste plusieurs projets de développements pour la gestion de leurs lignes de crédits destinées à financer l’économie à travers les IMF. Il est membre fondateur du Projet de Recherche, de Formation et d’Information (PRIF) en microfinance du Centre d’Etudes, de Documentation et de Recherches Economiques et Sociales (CEDRES) au Burkina Faso. Il est actuellement chercheur au Laboratoire de Recherche et d'Analyse sur le Développement Economique et Social (LARADES) à l’Université de Tahoua.

Théophile Dzaka-Kikouta

Université Marien Ngouabi

Brazzaville, République du Congo

 

Théophile Dzaka-Kikouta est titulaire d’un doctorat en sciences économiques de l’Université de Rouen, en France. Il est professeur de microéconomie et de politique économique à l’Université Marien Ngouabi de Brazzaville et professeur invité, depuis plus de 20 ans, à l’Université Kongo (République démocratique du Congo). Il est également consultant international en entrepreneuriat et en intégration économique régionale pour les pays d’Afrique centrale, notamment dans le cadre des projets de l’Agence universitaire de la Francophonie et d’autres organisations internationales. Théophile Dzaka-Kikouta occupe le poste de directeur du Centre de Recherche et d’Études Prospectives (CREP), à Brazzaville. Depuis 2016, il est codirecteur de recherche pour doctorants à l’École doctorale Augustin Cournot de l’Université de Strasbourg, en France.

Moez El Elj

Université de Tunis

Tunis, Tunisie

 

Moez EL ELJ est titulaire d’un doctorat en sciences économiques de l’Ecole Centrale Paris. Il est actuellement maître de conférences à l’Institut supérieur de gestion (ISG) de l’Université de Tunis et chercheur au Laboratoire d’Economie et de Gestion Industrielle à l’Ecole Polytechnique de Tunisie où il coordonne le pôle de recherche innovation et productivité. Ses recherches s’intéressent à l’innovation, à la productivité et à la croissance dans les pays émergents et dans les pays en développement en particulier en Afrique. Il est par ailleurs expert auprès de plusieurs organismes internationaux en charge de l’élaboration d’études et des recherches dans différents domaines socio-économiques en Afrique subsaharienne et dans les pays du Maghreb.

Gilles Grenier

Université d'Ottawa

Ottawa, Canada

 

Gilles Grenier est membre du corps professoral du Département de science économique de l'Université d'Ottawa depuis 1981 et professeur émérite depuis 2017. Il a été professeur titulaire de 1995 à 2017 et directeur du Département à deux reprises, soit de 1985 à 1989 et de 1998 à 2002. Il a fait ses études en science économique à l'Université Laval (baccalauréat), à l'Université d'Ottawa (maîtrise) et à Princeton University (doctorat). Son principal domaine de spécialisation est l'économie du travail empirique. Il est l'auteur de plusieurs publications scientifiques qui portent sur les salaires et le marché du travail selon diverses caractéristiques, dont la langue et le statut d'immigrant ou d’immigrante. Parmi les revues dans lesquelles il a publié, notons Canadian Journal of Economics, Canadian Public Policy, L'Actualité économique, Journal of Human Resources, Social Science Quarterly, Global Economy Journal et Journal of Political Economy.

François Grin

Université de Genève

Genève, Suisse

François Grin est professeur ordinaire d’économie à la Faculté de traduction et d’interprétation (FTI) de l’Université de Genève, où il dirige l’Observatoire Économie-Langues-Formation. Il s’est spécialisé en économie des langues, en économie de l’éducation et en évaluation des politiques publiques dans ces domaines. Il est l’auteur d’un grand nombre de publications scientifiques et a piloté de nombreux projets de recherche et d’évaluation dans le domaine des politiques linguistiques, que ce soit pour des organismes scientifiques, des organisations non gouvernementales ou internationales, ou des autorités nationales ou régionales (par exemple, en Suisse, en France, en Irlande, en Australie, en Nouvelle-Zélande) sur ces questions. Il dirige actuellement le projet MIME (« Mobilité et inclusion dans le multilinguisme européen » 2014-2018), financé par la Commission européenne (7e programme cadre), qui rassemble des chercheurs de 22 universités réparties dans 16 pays et dans lequel une dizaine de disciplines des sciences sociales et humaines sont représentées. En 2018, François Grin devient rédacteur en chef de la revue internationale de politique linguistique Language Problems and Language Planning. Engagé dans diverses instances de la francophonie, il a notamment été membre du Conseil scientifique de l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF). Il est actuellement membre du Comité scientifique de l'Observatoire de la langue française de l'OIF et président de la Délégation suisse à la langue française (DLF). François Grin est chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres.

Jean-Damascène Habarurema

Ministère des Finances du gouvernement du Québec

Québec, Canada

 

Originaire du Rwanda, Jean-Damascène Habarurema est titulaire d’un doctorat en sciences économiques de l’Université de Montréal. Il s’est joint en 1999 à la Direction générale de l’analyse et de la prévision économiques du ministère des Finances du Québec, après un stage de chercheur postdoctorant à HEC Montréal. Il est responsable de la réalisation de travaux d’analyse et de suivi de l’économie mondiale, principalement sur les économies émergentes et sur le niveau de vie de la population et ses composantes (productivité, taux d’emploi, heures travaillées et démographie) au sein des pays de l’OCDE. Il a également été membre de comités interministériels d’experts du ministère québécois des Relation internationales et de la Francophonie (MRIF) sur le renouvellement de la Stratégie économique pour la Francophonie 2015, sur le Plan d’action Afrique 2013 et sur le renouvellement de la Politique québécoise de la jeunesse 2015. Il a participé à la préparation des perspectives de l’économie mondiale de 2008 à la Banque mondiale et à une mission en Haïti dans le cadre du projet PARGEP de l’Agence canadienne de développement international (ACDI), du MRIF et de l’École nationale d’administration publique (ENAP).

Mohamed H'Midouche

INTER AFRICA CAPITAL GROUP

Mohammedia, Maroc

 

Economiste de formation, M. Mohamed H’MIDOUCHE a passé toute sa carrière professionnelle de 36 ans au sein du Groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD) où il a occupé plusieurs postes de responsabilité, y compris celui d’Assistant du Président, de Directeur Adjoint au bureau européen de Londres, de Chef de l’Unité de la Coopération, de Représentant Résident en Egypte, de Représentant Non Résident en Tunisie, de Représentant Résident Régional au Sénégal couvrant également la Mauritanie, le Cap Vert, la Gambie et la Guinée Bissau, de Directeur, Vice-Président et Président du Comité Permanent sur la Revue et la Mise en Œuvre de la Stratégie de Décentralisation du Groupe de la BAD.

Il a également occupé les fonctions d’Administrateur de la Banque Africaine d’Import – Export (AFREXIMBANK) dont le siège se trouve au Caire, d’Administrateur de la Compagnie Nationale d’Acier de Dakheela à Alexandrie, Egypte, d’Administrateur de l’Institut Africain de la Gouvernance (IAG), de Membre des Conseils Présidentiels d’Investissements (CPI) du Sénégal et de la Mauritanie.

M. H’MIDOUCHE, en tant que Conseiller de feu Babacar N’DIAYE, président de la BAD de 1985 à 1995, a grandement contribué à la création en 1992-1993 de l’African Business Round Table – ABR, de Shelter Afrique (basée à Nairobi), de Afreximbank (basée au Caire) et d’Afrecare (basée à Lagos).

Houda Hakim Guermazi

École Nationale des Sciences de l’Informatique

Manouba, Tunisie

 

Houda Hakim Guermazi est maître assistante en administration des affaires à l’École Nationale des Sciences de l’Informatique et titulaire d’un doctorat en sciences de gestion de la Faculté des Sciences économiques et de Gestion de Tunis. Elle intervient dans différentes conférences internationales, dont le Workshop International organisé par l’EIB, le CMI, l’ISESCO et le Technopark El Ghazala. Elle a également agi comme membre de comités scientifiques lors de plusieurs conférences internationales. Elle intervient auprès des entreprises pour la mise en place de solutions en ingénierie liées au management dans le cadre des PFE pour le cycle ingénieur en informatique. Ses axes de recherche se concentrent sur l’innovation et les technologies de l’information et de la communication (TIC), les réseaux d’entreprises, le management de la qualité et les systèmes intégrés, la gestion du risque, les districts industriels, le système de gestion et l’entrepreneuriat, le management et l’intelligence décisionnelle. Ses principaux articles ont été publiés dans l’IEEE Xplore Digital Library, la revue Question(s) de Management? et la revue Quality-Access to Success. Houda Hakim Guermazi est aussi détentrice de plusieurs certificats pour diverses formations délivrées par des organismes tels l’Agence universitaire de la Francophonie, l'Université Stanford, la Leadership Academy for Development (LAD) et le Centre International pour l'Entreprise Privée (CIPE).

Aomar Ibourk

Université Cadi Ayyad

Marrakech, Maroc

 

Aomar Ibourk est professeur de méthodes quantitatives, d’économie du travail, d’économie de l’éducation, de statistique et d’évaluation des politiques publiques à l’Université Cadi Ayyad de Marrakech, au Maroc. Il est directeur du Groupe de recherche en économie sociale (GRES), membre du conseil scientifique et de gestion du Centre d’études, d’évaluation et de recherches pédagogiques (CEERP) de l’Université Cadi Ayyad. Il est également membre du comité de rédaction de plusieurs revues scientifiques. À titre de responsable d’équipe ou de cochercheur, il a participé à plusieurs reprises à la réalisation de projets de recherche et d’études au sein de son université ou pour le compte d’organisations nationales et internationales.

Imen Jaouadi

Université de Carthage

Carthage, Tunisie

Imen Jaouadi est maître-assistante à l’Institut Supérieur de Commerce et Comptabilité de Bizerte (ISCCB) de l’Université de Carthage depuis 2011. Titulaire d’un doctorat dans le domaine de l’économie de la santé, elle est enseignante universitaire depuis 2000. Entre autres, elle a enseigné à l’Institut national des sciences appliquées et de technologie (INSAT) de 2001 à 2005. Elle a rejoint l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) – bureau de la Tunisie – en tant que responsable nationale de programme pour le projet Optimize (2010 à 2012).

Mme Imen Jaouadi a participé au dialogue sociétal pour les politiques, stratégies et plans de santé en Tunisie en partenariat avec le ministère de la Santé pendant deux ans en tant que gestionnaire, formatrice, coauteure des différents rapports du dialogue sociétal et du livre blanc sur la réforme en santé.

Elle a également occupé le poste de directrice du Centre de la Formation Internationale et de la Recherche (CeFIR) de l’Office national de la famille et de la population (ONFP) du ministère de la Santé de décembre 2015 à septembre 2016.

Elle a travaillé sur la chaine logistique des vaccins, l’accès au système de santé en Tunisie, la réforme de ce système, les déterminants sociaux de la santé, les inégalités en santé, l’accès aux soins des migrants et la gouvernance du financement du système de santé.

Justin Kamavuako-Diwavova

Université Kongo et Institut Supérieur Pédagogique de Mbanza-Ngungu

Kongo Central, République démocratique du Congo

 

Justin Kamavuako-Diwavova est titulaire d’un doctorat en sciences de gestion de l’Université de Reims, en France. Il est Professeur de Comptabilité, Finance, Contrôle de gestion et Entrepreneuriat à l’Université Kongo et à l’Institut Supérieur Pédagogique (ISP) de Mbanza-Ngungu en République démocratique du Congo. Il est consultant international et ses travaux de recherche portent sur l’émergence et la pérennité des PME en Afrique. Justin Kamavuako-Diwavova dirige deux Unités de recherche : le Centre de Promotion des Petites et Moyennes Entreprises (CEPROPME) de l’Université Kongo et le Laboratoire de Recherche en Pédagogie de la Gestion (LARPEG) de l’ISP Mbanza-Ngungu.

Lamine Keita

Consultant indépendant

Bamako, Mali

 

Lamine Keita est titulaire d’un doctorat en Sciences économiques de l’Université de Paris VIII, obtenu en 1997. Il est consultant indépendant depuis 2014. Il a été Vérificateur au Bureau du Vérificateur Général du Mali (BVG Mali) de 2006 à 2014. De 1997 à 2005, il a travaillé au Centre d’Analyse et de Formulation de Politiques de Développement (CAFPD), relevant de la Présidence de la République du Mali. M. Keita a également été conseiller de la Commission de l’Union Européenne en formation statistique à l’Ecole Nationale d’Economie Appliquée (ENEA) de Dakar (1994-1997), assistant du Directeur du Centre européen de formation des statisticiens économistes des pays en voie de développement ( CESD), Paris (1987-1994), et conseiller de la Commission de l’Union Européenne en formation statistique à l’Ecole Supérieure de Commerce (ESCO) de Bujumbura (1985-1987).

Ayache Khellaf

Haut-Commissariat au Plan du Royaume du Maroc

Rabat, Maroc

 

Ayache Khellaf a plus de 28 ans d'expérience dans la planification du développement économique et social au Haut-Commissariat au Plan (HCP) du Maroc. Plus particulièrement, il possède une expertise dans la construction de modèles économiques (économétriques, entrées-sorties et équilibre général calculable) pour les études de prévisions, de simulations et d’évaluation des effets des politiques économiques. Il occupe aujourd’hui le poste de directeur de la Prévision et de la Prospective au HCP et il est titulaire d'un Master of Science in Policy Economics (MSPE) et d'un doctorat en économie, respectivement des universités de l'Illinois aux États-Unis et de Rabat au Maroc. M. Khellaf est titulaire aussi d’un diplôme d’ingénieur en statistiques de l’Institut National de Statistique et d’Economie Appliquée (INSEA) de Rabat. Il a aussi une expérience dans l'enseignement et la recherche, et il est un praticien de la planification du développement économique et social ayant publié un certain nombre d’articles et de documents pour le HCP et divers autres organismes des Nations Unies, comme le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), et dans plusieurs réseaux de recherche économique, comme l’Economic Research Forum (ERF) et le Forum Euroméditerranéen des Instituts de Sciences Economiques (FEMISE). 

Jean-Marc Kilolo

Bureau des Nations Unies pour la réduction des risques de catastrophes

Genève, Suisse

 

Jean-Marc Kilolo est actuellement économiste au sein de l’Organisation des Nations Unies. Il donne des ateliers sur la réduction des risques de catastrophes (RRC) dans 16 pays africains pour le compte du Bureau des Nations Unies pour la RRC. Avant, il a travaillé sur la diversification des exportations et le commerce à la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) au Centre du commerce international, où il a travaillé sur la stratégie d'exportation et la compétitivité des PME. Il a également travaillé en tant que responsable des affaires économiques pour la Commission économique pour l'Europe des Nations Unies (CEE-ONU). Avant de déménager à Genève, il a travaillé pendant plusieurs années au Canada comme économiste à l’Institut de la statistique du Québec. Il a également enseigné l'économie en République démocratique du Congo. Il a été formé en tant qu'économiste à l'École Polytechnique (Ph. D.), à l'Université de Montréal (M. Sc.) et à l'Université catholique de Louvain (bachelier). De plus, il est titulaire d'un MBA de l'Université du Québec à Montréal (UQAM). Ses recherches portent sur les travailleurs migrants, le développement, le commerce international et l’aide étrangère.

Rachidi Kotchoni

Université Paris Nanterre

Nanterre, France

 

Rachidi Kotchoni est titulaire d’un doctorat en économie et d’une maîtrise en finance mathématique et computationnelle de l’Université de Montréal. Il occupe actuellement un poste d’enseignant-chercheur (maître de conférences) au laboratoire ÉconomiX de l’Université Paris Nanterre (France) et du Centre national de recherche scientifique (CNRS), après deux années passées à l’African School of Economics (Bénin). Il vient de lancer avec des collègues du Bénin le Centre de RÉflexion pour les Transformations Économiques et Sociales (CRETES). Ses principaux champs d’intérêt en recherche portent sur l’économétrie des séries temporelles, l’économie financière et la politique de la concurrence. Il collabore également à des recherches sur le commerce international, les modèles de prévision macroéconomique et l’inférence causale. Rachidi Kotchoni a signé plusieurs publications parues dans des revues universitaires de renommée internationale telles que Econometric Theory, Journal of Financial Econometrics ou encore Review of Industrial Organization.

Soulaimane Laghzaoui

Université ibn Tofaïl

Kénitra, Maroc

 

Docteur en sciences de gestion de l’Université d’Aix-Marseille, Soulaimane Laghzaoui est actuellement enseignant-chercheur et habilité à diriger des recherches (HDR) à l’École Nationale de Commerce et de Gestion de l’Université ibn Tofaïl de Kénitra, au Maroc. Il est également chercheur associé au Centre d'Études et de Recherche en Gestion d'Aix-Marseille (CERGAM), en France, et membre du réseau des jeunes économistes francophones spécialisés en économie numérique. Il a réalisé de nombreuses missions en tant que professeur invité dans des universités à l'international (UQTR-Canada, Antananarivo-Madagascar, Hanoi-Vietnam, Lublin-Pologne et Montpellier-France). Soulaimane Laghzaoui travaille et dirige de nombreux projets dont une partie a été valorisée dans le cadre de travaux scientifiques nationaux et internationaux (communications lors de colloques nationaux et internationaux, articles dans des revues avec comité de lecture…). Ses principaux domaines de recherche touchent des thématiques diverses en sciences de la gestion (surveillance de l’environnement, internationalisation, entrepreneuriat).

Jean-Louis Levet

Économie industrielle

France

 

Jean-Louis Levet a été nommé Haut Responsable à la coopération technologique et industrielle franco-algérienne en mai 2013 et reconduit dans ses fonctions jusqu'en janvier 2019, dans le cadre de la « Déclaration d'amitié et de coopération » signée fin 2012 par les Présidents français et algérien. Il a depuis rejoint le Secrétariat Général du Gouvernement. 

Docteur d’Etat ès Sciences Economiques, il a exercé de multiples responsabilités avec comme fil conducteur l'économie industrielle :  dans la sphère publique, notamment auprès du Premier ministre, à la direction du Commissariat général du Plan, comme Directeur général de l'Institut de Recherches Economiques et Sociales de Paris, et privée comme directeur de la stratégie d'un groupe industriel.

Il fut parallèlement Professeur associé à mi-temps (entre 1993 et 2011) successivement à l'Université de Poitiers, de Toulouse I, d'Aix-Marseille, de Paris 13.

Faten Loukil

Université de Tunis

Tunis, Tunisie

 

Faten Loukil est maître de conférences à l’Institut Supérieur de Gestion de Tunis, membre de l’Unité d’Analyses Quantitatives Appliquées (UAQUAP, Université de Tunis) et titulaire d’un doctorat en sciences économiques de l’Université de Toulouse Capitole. Ses travaux de recherche portent sur l’environnement, le développement durable, la responsabilité sociale des entreprises et les politiques de collecte et de recyclage des déchets dans les pays en voie de développement. Elle s’intéresse aussi à la qualité de la formation et à l’insertion des jeunes diplômés de l’enseignement supérieur en Tunisie. Elle fait partie de l’association Nouvelle Chance Tunisie (réseau MedNC) qui accompagne les jeunes chômeurs.

Ahmadou Aly Mbaye

Université Cheikh Anta Diop

Dakar, Sénégal

 

Ahmadou Aly Mbaye est professeur titulaire des universités et directeur du Laboratoire d’analyse des Politiques de Développement (LAPD) à la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion (FASEG) de l’Université Cheikh Anta Diop à Dakar. Il est également directeur du programme doctoral régional sur l’économie du changement climatique (WASCAL). Monsieur Mbaye est coordinateur scientifique de plusieurs programmes internationaux de recherche et de renforcement des capacités dans le domaine du développement. Il est l’auteur de plusieurs publications dans le domaine du développement économique et a oeuvré comme consultant auprès du gouvernement sénégalais et de plusieurs organisations, telles que la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED), l’Organisation mondiale du commerce (OMC), l'Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), la Banque mondiale, la Japan Bank for International Cooperation (JBIC), la Commission économique pour l'Afrique (CEA) des Nations Unies, l’Union Economique et Monétaire Ouest-africaine (UEMOA).

Médard Mengue Bidzo

Université Omar Bongo

Libreville, Gabon

 

Médard Mengue Bidzo est agrégé des sciences économiques et professeur titulaire à l’Université Omar Bongo de Libreville au Gabon. Il est spécialiste des politiques économiques et auteur de plusieurs publications scientifiques dans les revues internationales à comité de lecture. Ses centres d’intérêt concernent principalement les politiques économiques, les regroupements économiques et monétaires, les choix publics, les crises économiques et financières, la théorie des jeux, la macroéconomie et la microéconomie du développement et l’économie de l’environnement et des ressources naturelles.

Il a dirigé plusieurs thèses de doctorat et mémoires de Master. Il est membre des comités scientifiques et instructeur dans plusieurs revues. Il est aussi membre de plusieurs réseaux internationaux d’économistes. Par ailleurs, il est régulièrement consultant auprès des organismes nationaux et internationaux (le Conseil Economique, Social et Environnemental du Gabon, le ministère du Commerce et des PME du Gabon, le ministère de la Promotion des investissements du Gabon, la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC), la Commission Economique de l’Afrique (CEA), le PNUD, la Communauté Economique des Etats de l'Afrique Centrale (CEEAC) et le FMI). Il est également membre des conseils d’administration de plusieurs organismes dont le Comité national financier et économique de la BEAC et l’Agence Nationale des Bourses du Gabon.

Fouzi Mourji

Université Hassan II de Casablanca

Casablanca, Maroc

 

Fouzi Mourji est professeur d’économétrie appliquée à l’Université Hassan II de Casablanca et professeur invité de diverses universités : il se rend chaque année au Centre d’Études et de Recherches sur le Développement International (CERDI) de l’Université Clermont Auvergne et, ponctuellement, aux universités de Rouen, de Paris 12, de Montréal et de Genève. Ses recherches portent sur les unités de production informelle, la microfinance, l’économie de l’éducation et du travail et, de manière générale, sur les questions de pauvreté (y compris par la fiscalité). Elles ont donné lieu à diverses publications. Fouzi Mourji a été membre du Comité de coopération pour la recherche universitaire et scientifique (CORUS), mis en place par le ministère français des Affaires étrangères entre 2004 et 2011, et a en outre été le coordonnateur du réseau Analyse économique et développement de l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) de janvier 2003 à décembre 2007. Il a également acquis une expérience de huit ans au cabinet du ministre des Finances du Maroc (1986 à 1993). Il a par la suite effectué plusieurs études et travaux, notamment pour le compte du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), de la Banque mondiale, de l’US-AID, de la Women’s World Banking, de l’Agence française de développement (AFD) et d’autres agences de développement international. Outre l’évaluation de l’Institut de microfinance (IMF) et le conseil à ces organismes, il a mené des études d’impact au Maroc, en Côte d’Ivoire, à Madagascar et au Sénégal.

Abdelhadi Naji

Université du Québec à Trois-Rivières

Trois-Rivières - Québec, Canada

 

Abdelhadi Naji (Ph.D, CRHA) est professeur et directeur du comité de programmes de premier cycle en administration à l’École de gestion de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) après avoir exercé comme directeur du département de gestion des ressources humaines. Il cumule plusieurs expériences dans des organisations publiques et privées avant d’amorcer des études de maîtrise (ENAP, Montréal) puis de doctorat au programme conjoint (ÉSG-UQAM, HEC, Concordia et McGill) en administration. Après cinq années comme professeur à I ’Université de Moncton, il a rejoint les rangs de l’UQTR. Il enseigne des cours de GRH aux trois cycles et encadre des thèses et mémoires des étudiants. Il a agi aussi comme professeur invité dans différentes universités internationales. Ses intérêts de recherche portent sur l’impact des pratiques de GRH sur les comportements productifs et la performance des employés. Il travaille également sur le développement des compétences et la gestion du changement organisationnel et est membre du laboratoire SMARTI (Strategic Management of Advanced Research on Technology and Innovation) de l’UQTR. Ses travaux de recherche ont été publiés dans des revues scientifiques, des livres et présentés dans des conférences scientifiques.

Mohamed Ben Omar Ndiaye

Université Cheikh Anta Diop

Dakar, Sénégal

 

Mohamed Ben Omar Ndiaye est professeur d'économie et maître de conférences titulaire à l'Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar, au Sénégal. Il a un doctorat en économie, un Diplôme d’études approfondies (DEA) en macroéconomie appliquée (option Monnaie-Finance-Banque), un master et une licence en management et en gestion des organisations et des entreprises. De juin 2008 à août 2016, il a occupé le poste de directeur général de l'Agence monétaire de l'Afrique de l’Ouest (AMAO), une institution internationale de la Communauté économique des États de l'Afrique de l’Ouest (CEDEAO); il avait alors pour mandat de conduire le Programme de coopération monétaire de la CEDEAO, adopté en vue de la création de la monnaie unique de la CEDEAO. De 2005 à 2008, il a été directeur national des programmes de masters et de doctorats (Ph. D.) du Programme de troisième cycle interuniversitaire (PTCI) et directeur adjoint (puis directeur par intérim) du Centre de Recherches Économiques Appliquées (CREA) de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar. De 1999 à 2003, il a servi comme directeur des programmes de formation et secrétaire général du Centre de formation professionnelle de techniques administratives et de gestion de Dakar, au Sénégal. Le professeur Ndiaye a plusieurs publications à son actif, y compris une thèse de doctorat sur la dynamique et l’optimalité de l'intégration régionale en Afrique, ainsi que d’autres articles de recherche portant notamment sur le ciblage de l'inflation, la gestion de la liquidité, la politique monétaire, la croissance économique, le mécanisme de taux de change, l’intégration économique et monétaire régionale, la convergence macroéconomique, les négociations commerciales et les réformes fiscales, la productivité, la réduction de la pauvreté et des inégalités et la sécurité alimentaire. Mohamed Ben Omar Ndiaye est membre de plusieurs comités scientifiques et réseaux de recherche; il a agi comme formateur principal auprès de plusieurs centres de formation nationaux et internationaux et a conduit un large éventail de missions et de séminaires dans plusieurs parties du monde, particulièrement en Europe et en Afrique.

Aminata Niang Diene

Université Cheikh Anta Diop

Dakar, Sénégal

 

Aminata Niang Diene, Docteur d’Etat és Lettres et Sciences humaines, est enseignante-chercheure au Département de Géographie de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, depuis 2001. Spécialisée en géographie de la santé, ses principaux enseignements et travaux de recherche portent sur la gouvernance des systèmes de santé, sur les relations entre environnement, territoires et santé ainsi que sur l’aménagement et le développement territorial. Elle est auteure de plusieurs publications sur les dynamiques territoriales et sanitaires au Sénégal.

Aminata Niang Diene dirige l’Institut de la Gouvernance territoriale de l’Université Cheikh Anta Diop depuis 2016. Elle est également membre de plusieurs réseaux et comités scientifiques nationaux et internationaux et s’investit dans la construction de synergies entre la formation, la recherche et les actions en faveur du développement territorial en Afrique.

Joseph Nkurunziza

Université du Rwanda

Kigali, Rwanda

 

Joseph Nkurunziza est un chercheur en sciences sociales ayant un intérêt particulier pour les sciences économiques, les statistiques appliquées, l’analyse des politiques économiques et la planification du développement. Après une licence en économie, obtenue en 2001 à l'Université Nationale du Rwanda (UNR), il a travaillé comme gérant de banque pendant une année. En décembre 2002, il a rejoint l'UNR comme assistant au Département d'économie. Il a une maitrise en statistiques appliquées obtenue en 2007 à l'Université catholique de Louvain en Belgique. Il a un doctorat en analyse de politiques de développement économique, obtenu en 2015 à l'Université d’Utrecht au Pays-Bas. Dans sa thèse de doctorat, il a démontré que les politiques visant la réduction de la pauvreté, la qualité du marché de travail et les politiques de développement économique en milieu rural contribuent à la volonté des familles d'investir dans l'éducation de leurs enfants. Pendant sa carrière universitaire, Joseph Nkurunziza a enseigné dans les départements d'économie et de statistiques appliquées. En plus de donner ses cours, il a occupé des postes administratifs, a participé à des conférences et a publié des articles de recherche dans des journaux scientifiques internationaux.

Yvette Onibon Doubogan

Université de Parakou

Prakou, Bénin

 

Yvette Onibon Doubogan est titulaire d’un Master recherche en Politiques et Pratiques Comparées de Développement de l’Université Panthéon Sorbonne (Paris I, 1995) et d’un doctorat unique en Economie du Développement de l’Université Paris XI en France (2001). Maître de conférences en sociologie du développement, elle est enseignante chercheur au département de sociologie/anthropologie de la Faculté des Lettres, Arts et Sciences Humaines à l’Université de Parakou au Bénin. Elle est aussi chargée d’enseignements sur la budgétisation sensible au genre à l’Institut des Hautes Etudes Internationales du Développement (IHEID, Genève).

Ses travaux de recherche portant sur le développement économique et social, l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes lui ont valu des publications scientifiques et des contributions à des ouvrages. Elle a publié en mars 2019 aux Editions l’Harmattan un ouvrage intitulé « Entrepreneuriat féminin et développement au Bénin ». Elle est co éditrice de l’ouvrage en préparation par la Revue Internationale des Etudes du Dévelopement sur « L’entrepreneuriat en Afrique : entre (ré)émergence d’un discours et reconfigurations des pratiques ».

Idrissa Kirsyamba Ouiminga

Université Thomas Sankara

Ouagadougou, Burkina Faso

 

Idrissa Kirsyamba Ouiminga est titulaire d’un doctorat en sciences économiques obtenu en 2011 à l’Université Ouaga 2 actuelle Université Thomas SANKARA.

En plus d'être enseignant chercheur, il est chercheur au Centre d’Etudes de Documentation et de Recherche Economique et sociale (CEDRES) et Directeur de la recherche à l’Université Thomas SANKARA.

Ses intérêts de recherche portent principalement sur l’économie de l’environnement, des ressources naturelles et du développement durable.

Youmanli Ouoba

Université Thomas Sankara

Ouagadougou, Burkina Faso

 

Youmanli Ouoba est professeur agrégé en sciences économiques. Il est actuellement le Directeur exécutif du Centre d’Etudes, de Documentation et de Recherche Economique et Sociales (CEDRES) de l’Université Thomas SANKARA.

Dans le domaine de la recherche, il est auteur de plusieurs publications scientifiques dans des revues internationales à comité de lecture. Ses recherches portent principalement sur l’économie de l’environnement, l’économie des ressources naturelles et l’économie agricole. Il a dirigé plusieurs masters en économie et dirige actuellement près d’une dizaine de thèses en économie.

Umut Riza Ozkan

Université de Montréal

Montréal (Québec), Canada

Umut Riza Ozkan est professeur adjoint à l’École des relations industrielles de l’Université de Montréal depuis 2016. Ses principaux domaines de recherche sont les politiques d’emploi dans le monde, notamment les politiques d'assurance-chômage, le droit du travail et les politiques d’intégration économique des immigrants. Ses recherches sont développées dans un cadre élargi au niveau international grâce à l’application d’analyses comparatives qui mettent en scène les économies émergentes tout comme celles des pays développés. Il a publié dans des revues internationales réputées telles que International Migration & Integration, Labor History, Social Policy & Administration, Social Indicators Research, International Journal of Social Welfare, International Labour ReviewInternational and Comparative Social Policy et Global Social Policy.

Sourour Ramzi

Institut des Hautes Études de Tunis

Tunis, Tunisie

 

Sourour Ramzi est enseignante à l’Institut des Hautes Études de Tunis. Elle est titulaire d’un doctorat en sciences de gestion, option méthodes quantitatives, de l’Institut Supérieur de Gestion (ISG) de Tunis. Sa thèse, soutenue en 2016, s’intitule « Measuring efficiency of education and modeling education as supply chain with Data Envelopment Analysis » et a été codirigée par les professeurs Mohamed Ayadi, de l’ISG de Tunis, et Altonio Alfonso, de l’Université Technique de Lisboa. Sourour Ramzi possède également un master de l’ISG de Tunis pour sa recherche intitulée « Prévision des systèmes économiques et des marchés financiers ». Elle a publié trois articles sur l’efficience et la productivité du système éducatif en Tunisie.

Ndèye Faty Sarr

Université du Québec à Chicoutimi

Chicoutimi (Québec), Canada

 

Ndèye Faty Sarr est chercheure associée au Laboratoire d’Études et de Recherche Appliquées sur l’Afrique à l'Université du Québec à Chicoutimi. Elle est diplômée de l’Université Laval à Québec et a enseigné à l’Université de Clermont en Auvergne.

Ses recherches s’intéressent à la question de l’autonomisation des femmes, l’analyse intersectionnelle, aux études sur le genre, aux questions de développement et aux politiques sociales en Afrique.

Mounia Sliman

Université Ibn Tofaïl

Kénitra, Maroc

Mounia SLIMAN est enseignante chercheure à l’Université Ibn Tofail (Kénitra – Maroc) et membre du réseau des jeunes économistes francophones spécialisés en économie numérique. Elle détient un doctorat en sciences de gestion.

Forte d’une expérience administrative et académique, elle a présenté ses recherches dans plusieurs manifestations scientifiques nationales et internationales (World Social Science Forum, Conférence annuelle de l’Association en management international « Atlas-AFMI », Congrès international Francophone en entrepreneuriat et PME...).

En outre, Mounia Sliman a participé à l’élaboration du projet « Entrepreneuriat des jeunes et développement de l’esprit d’entreprise au Maroc: l’expérience de Moukawalati », coordonné par TrustAfrica et IDRC /CRDI – Canada.

Cheick Oumar Soumano

Organisation des Jeunes Patrons (OJEP)

Bamako, Mali

 

Cheick Oumar Soumano est détenteur d’un Master 2 en Droit des Affaires et Fiscalité. Il est spécialiste des questions d’emploi, de formation professionnelle, d’entrepreneuriat, des PME et de partenariats public-privé (PPP). Il est également le Président de l’Organisation des Jeunes Patrons (OJEP), un organisme regroupant les jeunes entrepreneurs et managers d’entreprises de moins de 40 ans au Mali. Par ailleurs, il est promoteur d’un incubateur d’entrepreneurs en milieu universitaire dénommé « CEMA » créé en 2014 et d’un cabinet de consultant, spécialisé dans l’assistance aux entreprises en droit des affaires, stratégie, élaboration de plan d’affaires, appui aux PME du nom de « COS SOLUTION ».

Cheick Oumar Soumano a exercé des fonctions au sein de l’Agence pour la Promotion de l’Emploi des jeunes (APEJ, Mali) et du Ministère de la Promotion de l’Investissement et du Secteur Privé du Mali. Il a également participé à un projet de la Banque mondiale en qualité de spécialiste en financement, et été consultant du BIT pour l’élaboration d’une étude comparative des bonnes pratiques en matière d’entrepreneuriat des jeunes des services publics de l’Emploi de l’Union économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA).

Enfin, Monsieur SOUMANO, est enseignant dans plusieurs universités publiques et privées des modules d’entrepreneuriat, droit des affaires, fiscalité des entreprises, stratégie d’entreprises et plan d’affaire.

Claude Sumata

Université Pédagogique Nationale

Kinshasa, République démocratique du Congo

 

Claude Sumata est actuellement Doyen de la Faculté des sciences économiques et de gestion à l’Université Pédagogique Nationale (UPN) de Kinshasa en République démocratique du Congo. Il est également enseignant à l’Université Catholique du Congo. Il a exercé les fonctions de consultant international auprès de nombreuses organisations internationales dont l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), l’Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), la Banque mondiale, la Banque africaine de développement (BAD) et l'agence de coopération internationale allemande pour le développement (GIZ). Claude Sumata est titulaire d’un doctorat en économie de l’Université de Paris X Nanterre la Défense (Université Paris Ouest). Il y a fait des études de mathématiques appliquées puis d’économie. Il a également un diplôme de spécialisation en éducation (Cert Ed) de l’Université de Middlesex (Londres). Il est spécialiste en macroéconomie monétaire et financière, en migration internationale et en entrepreneuriat. Il est l’auteur de trois ouvrages parus aux Editions l’Harmattan à Paris et de plusieurs articles publiés dans des revues spécialisées.

François Vaillancourt

Université de Montréal

Montréal (Québec), Canada

 

François Vaillancourt est professeur émérite au département de sciences économiques de l'Université de Montréal et fellow,CIRANO. Il  a obtenu un Ph.D. de l'Université Queen's en 1978  Il a publié de nombreux textes dans le domaine des politiques publiques. Ses principaux domaines de recherche sont: 1) les relations financières intergouvernementales; 2) les politiques linguistiques; 3) l'incidence et la complexité/coûts de perception de l'imposition. Au cours de sa carrière  il a été  Fulbright Canadian Research Scholar à  Kennesaw (2007); professeur invité au Andrew Young School of Policy Studies à Atlanta( 2007 et 2009),  FUCaM (Mons, Belgique, 2006), et à l'École Normale Supérieure de Cachan,(Paris, 2006 et 2008);  chercheur invité à l'Institut d’Études Européennes (Université Libre de Bruxelles, 1994), à l'Université de Toronto (1991) et à l'Australian National University (1991). Il a aussi été coordonnateur de recherche pour la Commission MacDonald (1983-1986) et directeur adjoint de la revue Canadian Public Policy-Analyse de Politiques (1986-1995) et conférencier pour l'Institut Indo-Canadien Shastri (Inde, 1993). Il a agi comme consultant pour divers organismes canadiens (Comité permanent des Finances de la Chambre des Communes, Commission sur le déséquilibre fiscal, Commission de réforme du droit du Canada, Conseil de la Fédération, Conseil de la langue française du Québec,  Finance Canada, Groupe d’expert fédéral sur la réforme de la péréquation, Office de la langue française, Statistique Canada, Vérificateur général du Canada et également du Québec). Il a également travaillé pour divers organismes internationaux (AFD, Banque mondiale, FMI, OCDE, PNUD) dans 31 pays sur des questions de relations financières intergouvernementales  (taxation, transferts) et offert des formations dans ce domaine pour l’African Tax Institute, l’Andrew Young School of Policy Studies, la Banque mondiale, le FMI , et le Hague Academy for Local Governance.

Delphine van Hoorebeke

Université de Toulon

Toulon, France

 

 

Delphine van Hoorebeke est maître de conférences, habilitée à diriger les recherches à l’Université de Toulon au sein de l’Institut d’administration des entreprises. Avant d'occuper son poste actuel, elle a été professeure adjointe à l’Université de Montréal.

Auteure de nombreux articles et chapitres de livre sur les aspects cognitifs en management, Delphine van Hoorebeke a publié en février 2018 un livre intitulé le management du vivant ou l’émomanagement aux éditions Iste, Londres en version française et anglaise. Son dernier article s’articule autour de l’aspect cognitif de la prise de décision à distance.

En tant que chercheure, elle est rattachée au laboratoire de gestion CERGAM de Toulon, filiale du CERGAM Aix-Marseille et est affiliée au Centre interuniversitaire en analyse des organisations (CIRANO, Montréal).

Mircea Vultur

Institut national de la recherche scientifique

Québec, Canada

 

Mircea Vultur est professeur titulaire à l’Institut national de la recherche scientifique au Québec, coresponsable du comité international de recherche Sociologie du travail affilié à l’Association internationale des sociologues de langue française (AISLF), membre titulaire (fellow) du Centre interuniversitaire de recherche en analyse des organisations (CIRANO) et responsable de l’axe Travail et insertion professionnelle de l’Observatoire Jeunes et Société (OJS). Il a été professeur invité à l’Université du Luxembourg, à l’Université de Bretagne occidentale, à l’Université fédérale de Santa Catarina, à l’Universidade LaSalle et à l’Université d’Aix-Marseille. Ses recherches actuelles portent sur l’insertion professionnelle des diplômés universitaires, les pratiques de recrutement des entreprises et les conditions de travail des salariés d’agences de location de personnel. Il a ouvert récemment un chantier de recherche sur l’économie numérique et ses effets sur le travail et l’emploi.

Nouzha Zaoujal

Institut National de Statistique et d'Economie Appliquée

Rabat, Maroc

Nouzha ZAOUJAL est professeure chercheure à l’Institut National de Statistique et d’Economie Appliquée (INSEA, Rabat, Maroc). Elle est statisticienne économiste de formation et ses domaines d’expertises sont : la modélisation économique (MCEG, analyse input-output, projections économiques), l’économétrie appliquée (macroéconométrie, microéconométrie et économétrie spatiale) et l’analyse de l’impact des politiques et programmes publiques. Elle a contribué à plusieurs travaux de recherche sur l’analyse de l’impact économique et social des politiques et programmes publiques. Elle porte un intérêt particulier au capital humain, à l’étude du marché du travail et à l’analyse de l’impact des politiques sur l’emploi et l’insertion des jeunes, en particulier.

Faiçal Zellama

Université de Saint-Boniface

Winnipeg, Canada

 

Faiçal Zellama est professeur agrégé d’économie et de gestion et directeur de l’École d’administration des affaires de l’Université de Saint-Boniface (USB). Économiste de formation, il détient un doctorat en relations industrielles, spécialisation en politiques publiques (Université de Montréal). Il est aussi conseiller en ressources humaines agréé (CRHA). Il a une longue expérience de recherche dans les domaines de l’emploi, du marché du travail, de l’adaptation et l’insertion professionnelle et du développement des compétences de la main-d’œuvre incluant les immigrants par choix et les réfugiés. Il a obtenu plusieurs subventions de recherche sur l’intégration des immigrants. Les plus récentes proviennent du ministère de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté du gouvernement du Canada (IRCC) :  une subvention de recherche sur l’amélioration des prestations des services destinés aux nouveaux arrivants (pour une période de 4 ans allant de septembre 2018 à avril 2022) et une subvention de recherche pour une période allant de décembre 2016 au mois de février 2018 portant sur les réfugiés d’expression française de Winnipeg et de Saint-Boniface. Aussi, ses derniers travaux de recherche portent sur le recrutement et la rétention de la main-d’œuvre spécialisée en milieu minoritaire francophone (2014-2015), année marquante sur le plan des débats publics au sujet de l’inclusion des nouveaux arrivants francophones au Manitoba (cf. les résultats des États généraux de la francophonie manitobaine 2015).