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Jeunes chercheuses et chercheurs affiliés

Le réseau de jeunes chercheuses et chercheurs affiliés regroupe des économistes francophones qui constituent la relève scientifique et dont les travaux portent sur l’analyse des enjeux socioéconomiques du monde francophone qui sont d’intérêt pour les politiques publiques. Le noyau de ce réseau est formé de participants au programme FORJE de l'OFE qui commencent leur carrière et qui sont motivés à contribuer au rayonnement et à la réussite de la mission et des activités de l’OFE.

Le réseau de jeunes chercheuses et chercheurs affiliés comprend les personnes suivantes : 

Boubakari ABDOURAMANE 

Université de Maroua

Maroua, Cameroun

D’origine camerounaise, Boubakari Abdouraman est actuellement enseignant à la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de l’Université de Maroua au Cameroun. Il est titulaire d’un Doctorat en sciences de gestion, spécialité "Management et Stratégie", obtenu en 2020 de l’Université de Ngaoundéré (Cameroun).

Ses principaux centres d’intérêt portent sur la problématique de l’entrepreneuriat des jeunes diplômés et des femmes, et l’adéquation formation-emploi dans les pays en développement en général et au Cameroun en particulier. Il s’est particulièrement intéressé à l’analyse des déterminants de l’intention entrepreneuriale et au passage de l’intention à l’action de création d’entreprises par les jeunes diplômés dans un contexte de changement de paradigme de l’économie salariale vers une société entrepreneuriale.

M. Abdouraman dispose également d’une expérience dans le monde académique et professionnel. EN effet, il a enseigné pendant plus de dix (10) ans dans plusieurs universités et instituts privés de l’enseignement supérieur au Cameroun.

Il a participé à la première édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2018 à janvier 2019) à l’École nationale de Commerce et de Gestion de Kénitra (ENCG) de l’Université Ibn-Tofail au Maroc. Il a également participé à la première conférence internationale sur la Francophonie économique organisée par l’OFE de l’Université de Montréal et l’Université Cheikh Anta Diop à Dakar du 4 au 6 février 2019 portant sur le thème « Enjeux et perspectives économiques en Afrique francophone ».

Adikath ABIOLA

Université Nationale d'Agriculture

Kétou, Bénin

Adikath ABIOLA, de nationalité béninoise, Adikath ABIOLA est actuellement en instance de soutenance de sa thèse de doctorat en Économie agricole, Agroéconomie et Gestion à l’Université Nationale d’Agriculture (Bénin). Elle est titulaire d’un master en Économie, sociologie et vulgarisation rurales, obtenu en 2017 à la faculté des Sciences agronomiques (FSA/UAC) de l’Université d’Abomey-Calavi (Bénin). Elle est passionnée par la recherche pour le développement, l’économie comportementale et expérimentale et l’apprentissage continu. Elle s’intéresse aux questions liées aux risques agricoles et financiers, à l’entrepreneuriat, à l’adoption et à l’impact d’interventions ou de technologies. Dans le cadre de sa thèse de doctorat, elle s’est intéressée à l’analyse du comportement des producteurs en situation de risque et son implication économique dans la production de banane plantain au Bénin. Elle a participé à plusieurs études sur les cultures telles que le riz, le maïs et la banane. Ces études sont relatives aux technologies agricoles, notamment les structures de stockage et de conservation, les technologies intelligentes face au climat (SAWAH) et les technologies du projet PANA. Elle a été assistante de la coordonnatrice du projet BBTV-Mitigation de 2017 à 2018, un projet relatif à l’éradication d’une maladie virale du bananier et à la relance de la filière banane au Bénin. Elle est actuellement chargée de recherche et politiques au Centre d’Action pour la Sécurité alimentaire et le Développement durable (CASAD-Bénin) qui s’intéresse aux questions liées aux changements climatiques, à l’environnement et à la sécurité alimentaire. En parallèle à sa formation doctorale, elle a fait plusieurs séjours de formation et de recherche, notamment à l’Université de Wageningen aux Pays-Bas en 2018, à l’Université de Cape-Coast au Ghana en 2019, à l’Université Mohammed VI Polytechnique au Maroc en 2022, au Laboratoire d’Agroéconomie et de Macroéconomie appliquée de l’Université de Lomé au Togo en 2022, au Hub régional de l’Afrique de l’Ouest de EGAP (Evidence in Governance and Politics)/ CERAP, en Côte d’Ivoire en 2023.

Adikath a participé à la quatrième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFÉ. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de trois mois (mai à août 2023) à l’Université de Yaoundé II SOA, au Cameroun.

 

 

Prince Octave ADOUMA

Université de Yaoundé II

Yaoundé, Cameroun

D’origine Centrafricaine, Prince Octave est titulaire d’une Licence en Economie à l’Université de Bangui et d’un Master recherche en Economie Appliquée option Genre et Développement auprès du Programme du Troisième Cycle Interuniversitaire (PTCI) au campus d’accueil de Yaoundé 2 au Cameroun. Il est actuellement doctorant en Economie Publique et du Bien Etre dans la dite université.

En tant que Chercheur multidisciplinaire, ses intérêts de recherche s'articulent autour de Genre et développement, la question des transferts de fonds des migrants et les finances publiques.

Depuis l’obtention de son master, il est rattaché cumulativement à plusieurs institutions de recherche : Centre de Recherche pour le Développement Economique (CEREDEC) et le Centre de Recherche en Analyse des Politiques Economiques (CERAPE-RCA).

Prince Octave a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de trois mois et demi (mi-février à mai 2022) à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

 

 

Armand Fréjuis AKPA

Université d’Abomey-Calavi

Abomey-Calavi, Bénin

Armand Fréjuis AKPA, de nationalité béninoise, est diplômé de l’Université d’Abomey-Calavi (Licence en statistiques et économétrie en 2014, Master recherche en économie des ressources naturelles et de l’environnement dans le cadre du programme du troisième cycle interuniversitaire (PTCI) en 2018 et Doctorat en économie agricole en 2023). Il a bénéficié au cours de la rédaction de sa thèse d’un séjour de recherche de 5 mois à l’Université de Las Palmas de Gran Canaria, Espagne et a participé à la 4e édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes francophone (FORJE) à l’école doctorale Économie-Gestion-Droit de l’Université de Lomé, Togo. Il s’intéresse aux questions liées à l’économie de l’environnement, aux changements climatiques, à l’agriculture, à la finance et aux inégalités. Il est chercheur au Laboratoire d’Économie Publique de l’Université d’Abomey-Calavi, Bénin et au Centre for Economic Policy and Development Research (CEPDeR), Covenant University, Ota, Nigeria. Il a publié des articles scientifiques relatifs à l’économie du développement et à l’économie de l’environnement dans des revues internationales.

Armand Fréjuis a participé à la quatrième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de trois mois (mai à août 2023) à l’Université de Lomé, au Togo.

 

 

Christelle AKPO

Université Félix Houphouët-Boigny

Abidjan, Côte d’Ivoire

Christelle AKPO, est spécialiste en économie et politique agricoles. Elle a obtenu un doctorat de l’Université Félix Houphouët-Boigny (Abidjan, Côte d’Ivoire).

 

Christelle a participé à la quatrième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de trois mois (mai à août 2023) à l’Université de Cheikh Anta Diop, à Dakar, au Sénégal.

Abdoulaziz ALHASSANE GARBA

Université Cheikh Anta Diop

Dakar, Sénégal

D’origine nigérienne, Abdoulaziz ALHASSANE GARBA est titulaire d’un diplôme d'ingénieur en Statistique appliquée et d’un master de recherche en Modélisation Quantitative en Economie et Finance (MMQEF) de l’Université Cheikh Anta Diop et de l’Ecole Nationale de Statistique et d’Analyse Economique(ENSAE) au Sénégal. Présentement, il est en attente de soutenance de thèse en ingénierie financière et économique sur le thème : « Finance comportementale et essai sur les modèles financiers appliqués à la BRVM : cas d’APT et de Fama-French ».

Ses champs de spécialisation sont la statistique, l’économétrie, les modélisations des actifs financiers et la modélisation microéconomique. Ses compétences s’appliquent principalement aux domaines des marchés financiers et au développement économique. A ce titre, il a plusieurs articles en cours de publication. Il a aussi cumulé plusieurs expériences en tant qu’assistante d’étude dans plusieurs cabinets de la place et consultant en freelance dans divers organismes, puis chargé de cours dans plusieurs écoles.

Abdoulaziz ALHASSANE GARBA a participé à la deuxième édition du programme Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2019 à janvier 2020) à l’Université Felix Houphouët Boigny d’Abidjan en Côte d'Ivoire.

Kawther ALIMI

Université de Sfax

Sfax, Tunisie

D’origine tunisienne, Kawther Alimi est actuellement enseignante universitaire contractuelle en sciences économiques à l’Université de Sfax en Tunisie et chercheuse affiliée au Laboratoire d’Économie d’Orléans (LEO). En 2019, Kawther a obtenu un doctorat en sciences économiques de l’Université de Sfax-Tunisie et de l’Université d’Orléans-France dans le cadre d’une cotutelle internationale de thèse. En 2013, elle a été major de sa promotion du Master de recherche en Dynamique Économique et Financière de la Faculté des Sciences Économiques et de Gestion (FSEGS) de l’Université de Sfax.

Ses principaux centres d’intérêt portent sur la politique monétaire, la politique de change et le marché du travail notamment dans les pays en développement. Elle s’est particulièrement intéressée à l’impact des frictions économiques sur l’efficacité des politiques monétaires et sur la croissance économique dans un cadre d’équilibre général dynamique stochastique. Dans ce cadre, elle a participé à différentes formations scientifiques de haut niveau sur la modélisation macro-économétrique en Europe, telle qu’au Centre Commun de Recherche (The Joint Research Centre – JRC) de la Commission européenne à Ispra en Italie.

Kawther a également acquis une vaste expérience dans le monde académique et professionnel. Ainsi, de 2014 à 2020, elle a enseigné dans plusieurs universités et grandes écoles en tunisiennes. De plus, elle est membre à l’Association des économistes tunisiens (ASECTU) depuis 2016.

Mme Alimi a participé à la première édition du programme Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2018 à janvier 2019) à l’École Nationale de Commerce et de Gestion de Kénitra (ENCG) de l’Université Ibn-Tofail de Kénitra au Maroc.

Marie-Lopez ANGAMAN

Université Alassane Ouattara de Bouaké, Côte d'Ivoire

D’origine ivoirienne, Marie-Lopez Angaman est doctorante en sciences économiques option Politiques Économiques et Modélisation (PEM) à l’Université Alassane Ouattara de Bouaké. Elle est titulaire d’un Master Recherche en Politiques Économiques et Modélisation dans la dite Université. Depuis 2019, Marie-Lopez est assistante chercheuse au Laboratoire d’Analyse et de Modélisation des Politiques économiques (LAMPE). Ses champs de spécialisation sont l’économie de l’agglomération, l’économie de l’environnement, l’économie de l’énergie et l’économie du bien-être.

Dans le cadre du Projet PEP sur les politiques de croissance et d’emploi de 2019 à 2021, elle a participé à l’étude de la relation entre l’électrification rurale, l’autonomisation de la femme et le bien-être du ménage en milieu rural en Côte d’Ivoire. Elle s’intéresse actuellement à l’étude de l’interaction entre l’urbanisation, la variabilité climatique et les inégalités de revenu en Afrique Subsaharienne. Face aux défis liés à l’impact de l’urbanisation incontrôlée et du changement climatique en Afrique, son ambition est de contribuer à une meilleure formulation des politiques de réduction des inégalités dans cette région.

Marie-Lopez a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de quatre mois (février à mai 2022) à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

 

Sèdami Nadège Marsove ATTOULOU

Université Félix Houphouët-Boigny

Abidjan, Côte d’Ivoire

Sèdami Nadège Marsove ATTOLOU, titulaire d’un PhD en économie de l’Université Félix Houphouët-Boigny (Abidjan, Côte d’Ivoire). À l’issue de sa Licence en Sciences Économiques option Statistique-Économétrie en 2014, elle a été retenue au cours de l’année scolaire 2015-2016 pour un Master du Programme du troisième Cycle Interuniversitaire à l’Université d’Abomey-Calavi. Son cursus de DEA lui a permis d’acquérir des connaissances théoriques et pratiques dans les principaux domaines de l’économie : économétrie, microéconomie, macroéconomie et plus spécifiquement en évaluation du genre, de la prise en compte du genre dans un projet de développement. En 2019, elle a été retenue pour le Programme 100 Femmes Docteures à l’horizon 2025 du Nouveau Programme du Troisième Cycle Interuniversitaire (NPTCI), programme qui lui a permis de décrocher son diplôme de docteur en économie depuis janvier 2023. Ses recherches actuelles portent sur l’éducation, le marché du travail et les inégalités.

Sèdami Nadège Marsove a participé à la quatrième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de trois mois (mai à août 2023) à l’Université de Cheikh Anta Diop, à Dakar, au Sénégal.

Khésia Carnella Moussavou BATEMI

Université Omar Bongo

Libreville, Gabon

Originaire du Gabon, Khésia Carnella Moussavou Batemi est doctorante au département des sciences économiques à l’Université Omar Bongo de Libreville. Elle est titulaire d’un diplôme d’études approfondies (DEA) du programme de second cycle et membre du Centre International de Recherche en Gestion et en Économie pour le Développement (CIRGED).

Ses recherches portent sur les questions relatives au pétrole, aux inégalités de revenu, à la pauvreté et au bien-être des ménages dans les pays en développement. Plus spécifiquement, elle analyse l’influence des chocs pétroliers sur le bien-être des ménages africains.

Dans le domaine humanitaire, elle intervient en tant que volontaire dans le projet "Organisation et Stratégie de lutte contre la Tuberculose au Gabon" en partenariat avec l'OMS, le Fonds mondial, le RENAPS/AJ, SANTE SANS FRONTIERES et la CROIX ROUGE Gabonaise pour mettre fin à la tuberculose.

Khésia Carnella a participé à la deuxième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de quatre mois (Novembre 2019 à Mars 2020) à l’Université Ibn Tofail de Kénitra au Maroc.

Djohra BELILI

École Nationale Supérieure de Statistique et d'Économie Appliquée

Alger, Algérie

D’origine algérienne, Djohra BELLILI est présentement doctorante en statistique et économie appliquée à l’École nationale supérieure de statistique d'Alger. Elle est titulaire d’un master professionnalisant en actuariat à finalité sécurité sociale de l’École supérieure de la sécurité sociale en Algérie, d’un magistère en économie et statistique appliquée, et d’un diplôme d’ingénieure d’Etat en planification et statistique.

Ses champs d’intérêt incluent la pérennité des systèmes de retraite, le vieillissement de la population, la construction des tables de mortalité prospectives, les politiques et programmation financière de l’économie magrébine et la modélisation de la population.

Sur le plan professionnel, Djohra a cumulé une expérience de huit ans dont trois ans comme actuaire à la Caisse algérienne de sécurité sociale des non-salariés, et cinq ans comme ingénieure principale en statistique au ministère des Finances d’Algérie. Entre autres, elle a contribué au projet « L’Algérie vision 2035 » au sein de la commission de modernisation du système financier.

Sur le plan académique, Djohra est assistante de recherche au laboratoire de statistique appliquée (LASAP) et membre d’une équipe de recherche dans le cadre des Projets de Recherche Formation-Universitaire (PRFU).

Enfin, Djohra a participé à la deuxième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE). Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de quatre mois (novembre 2019 à mars 2020) à l’Université de Mohammed V de Rabat au Maroc.

Marie Laure BELOMO ONGUENE

Université de Yaoundé II

Yaoundé, Cameroun

Marie Laure BELOMO ONGUENE, est originaire de la région du Centre Cameroun. Après l’obtention de son Baccalauréat en 2011, elle a opté pour des études supérieures à la faculté des Sciences économiques et de gestion de l’Université de Yaoundé II Soa où elle a obtenu tour à tour une Licence en Monnaie Banque Finance, une Maîtrise en macroéconomie monétaire mathématique et financière et un Master en macroéconomie monétaire et bancaire. Elle s’est ensuite inscrite à l’Université de Dschang à l’Ouest Cameroun où elle a défendu en mai 2023 une thèse en économie monétaire et bancaire. Ses travaux en thèse ont porté sur les questions de migration dans les pays en développement. Par ailleurs, elle est membre d’un laboratoire de recherche- Laboratoire de Recherche en Économie appliquée (LAREA) - et du Centre de Recherche d’Analyse de Politique Économique du Cameroun (CERAPE). Elle a à son actif plusieurs articles publiés dans des revues classées CNRS. Professionnellement, depuis juin 2023, elle occupe le poste d’assistante chercheur à l’Université de Yaoundé II- Soa au Département d’économie publique. Entre mai 2023 –août 2023, elle a bénéficié d’une bourse de mobilité de recherche de l’Observatoire de la Francophonie économique à l’Université de Lomé au Togo.


Marie Laure a participé à la quatrième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de trois mois (mai à août 2023) à l’Université de Lomé, au Togo.

Pallaye BEUNON

Université Félix Houphouët-Boigny

Abidjan, Côte d'Ivoire

Originaire du Tchad, Pallaye Beunon est doctorante en économie à l’Université Félix Houphouët Boigny d’Abidjan en Côte d’Ivoire. Elle est titulaire d’un DEA/Master II en économie appliquée (option : Macroéconomie ouverte) du programme de troisième cycle interuniversitaire (PTCI) au campus d’Abidjan, d’une Licence en Monnaie, Banque, Finance à l’Université de Yaoundé 2-Soa au Cameroun.

Ses travaux de recherches doctorales portent sur les thématiques liées à l’épargne, à l’investissement et à la croissance économique dans les pays en développement. Spécifiquement, elle s’intéresse à l’analyse des effets de la démocratie, la corruption, la bonne gouvernance, et la stabilité politique sur la croissance économique, puis l’analyse des déterminants de l’épargne nationale dans les pays en développement. Ses recherches s’étendent également sur la détermination de lien entre l’épargne domestique et les investissements domestiques. Pallaye a participé à différentes formations scientifiques de haut niveau telle que l’Université d’été en Sciences Sociales sur l’Évaluation de politiques publiques.

Pallaye a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de trois mois (mars à mai 2022) à l’Université de Lomé.

 

 

Aimé Kocou DADEGNON

Université d'Abomey-Calavi

Abomey-Calavi, Bénin

D’origine béninoise, Aimé Kocou Dadegnon est doctorant en économie à l’Université d’Abomey-Calavi au Bénin. Il est titulaire d’un Diplôme d’Etude Approfondie (DEA) en Economie Appliquée du Programme de Troisième Cycle Interuniversitaire (PTCI) ; d’un Master Professionnel en Finance Internationale et d’une maîtrise en Economie et Finance Internationale.

Il s’intéresse aux questions d’intégration régionale ; de commerce international ; de l’emploi et du développement inclusif. Il travaille actuellement sur les effets macroéconomiques de l’adoption et de la diffusion des TIC dans l’espace UEMOA.

Depuis l’obtention de son DEA, Aimé Kocou Dadegnon est rattaché cumulativement à plusieurs institutions de recherche : le Centre de Recherche, d’Analyse et des Politiques Economiques (CRAPE) ; le Laboratoire de Recherche en Economie et Gestion de l’Université de Parakou (LAREG-UP) et la Chaire de l’Organisation Mondiale du Commerce- Commerce International et Développement Inclusif (OMC-CIDI) de l’Université d’Abomey-Calavi. Il est aussi membre d’un réseau international d’experts-consultants en économie de développement (REID Consulting).

M. Dadegnon a participé à la deuxième édition du programme Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2019 à janvier 2020) à l’Université de Dschang au Cameroun où il a réalisé des recherches empiriques sur : « les effets des TIC sur la création nette d’emplois dans les pays de l’UEMOA ».

Khady DIAW

Université Cheikh Anta Diop de Dakar

Dakar, Sénégal

Originaire du Sénégal, Khady Diaw est une  doctorante/PhD en sciences économiques à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar dans le cadre du programme cent-femmes docteures à l’horizon 2025. Elle a obtenu un diplôme d’études approfondies (DEA) en économie appliquée au sein du nouveau programme de troisième cycle interuniversitaire (NPTCI) à l’UCAD. Elle est chargée des enseignements de travaux dirigés à la Faculté des sciences économiques et de Gestion (FASEG) de l’UCAD. Ses recherches portent sur les questions macroéconomiques, pauvreté, répartition des revenus.

Khady Diaw a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de trois mois (mars à mai 2022) à l’Université de Lomé.

 

 

Marie Ndeye Gnilane DIOUF

Université Cheikh Anta Diop

Dakar, Sénégal

Titulaire d’un doctorat en sciences économiques, Marie Ndeye Gnilane Diouf est une chercheuse affiliée au Laboratoire de recherches sur les Institutions et la Croissance (LINC) de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Sénégal). Elle est spécialisée dans les domaines que sont l’économie agricole, l’économie appliquée, la microéconomie, les techniques quantitatives et la modélisation à base d’agents. Elle s’intéresse à la dynamique des prix sur les marchés, à l’élevage, à l’agriculture et aux politiques de développement.

Les nombreux programmes auxquels elle a participé lui ont permis d’accumuler une expérience très solide dans le domaine de l’analyse économique. On peut citer entre autres les programmes suivants :

  • le programme Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones de l’OFE;
  • la Coopération Africaine des Programmes Internationaux pour la Mobilité (CAPITUM) à l’Université de Toamasina (Madagascar);
  • le programme de mobilité de l’Académie Nnamdi Azikiwe de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

Mme Diouf a participé à la deuxième édition du programme Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de quatre mois (novembre 2019 à mars 2020) à l’Université de Mohamed V de Rabat au Maroc.

Pascal EDOU

Université Omar Bongo, Gabon

Titulaire d’un Master Recherche en Économie Appliquée option Économie Industrielle du Programme du Troisième Cycle Interuniversitaire (PTCI), Pascal Edou est un doctorant affilié au Centre International de Recherche en Économie et en Gestion pour le Développement (CIREGED) de l’Université Omar Bongo (UOB) de Libreville (GABON).

Particulièrement sensible aux questions relatives aux risques, il a développé un intérêt particulier sur l’analyse des risques opérationnels et réputationnel bancaires et financières. Ses champs d’intérêt incluent également l’analyse microéconomique du secteur privé en termes d’outils d’aide à la décision et des techniques d’ordonnancement de projet. En plus de la rédaction de sa thèse, Pascal est moniteur au sein de l’administration décanale de la Faculté de Droit et des Sciences Économiques de l’UOB et assistant chargé des travaux dirigés au département d’économie.

Pascal a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de trois mois et demi (mi-février à mai 2022) à l’Université de Yaoundé II SOA.

 

 

Mohamed ELMOUKHTAR 

Université Sultan Moulay Slimane

Beni Mellal, Maroc 

Mohamed Elmoukhtar est d’origine marocaine. Après une licence en économie et gestion en 2015, il a eu un master en Management des Ressources Humaines en 2018. Il est actuellement doctorant en sciences économiques et de gestion depuis Janvier 2021.

Son sujet de recherche s’articule autour de la « contribution de l’économie verte sur le développement territorial durable au Maroc ». Il s'’intéresse aussi aux sujets de l’entrepreneuriat vert et de l’entrepreneuriat social et leurs liens avec le développement durable et le développement des territoires. Dans ce cadre il a présenté une communication orale intitulée : " L’entrepreneuriat vert, moteur du développement territorial durable : quels rôles pour les acteurs politiques et économiques" lors des actes de la deuxième édition du colloque international de l'innovation et de l'entrepreneuriat, organisée conjointement par la Faculté Polydisciplinaire de Béni Mellal et la ENCG de Béni Mellal. 

Mohamed a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de trois mois et demi (mi-février à mai 2022) à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

 

 

Safae ELOTMANI

Université Ibn Tofaïl

Kénitra, Maroc

Safae Elotmani est doctorante en entrepreneuriat féminin à l’École nationale de commerce et de gestion de Kénitra au Maroc. Originaire du Maroc, elle est titulaire d’un master en commerce international de la même école. Ses recherches portent sur l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes, notamment les déterminants du succès entrepreneurial des femmes en Afrique. En 2019-2020, elle a été membre d’une équipe de recherche qui a conduit un projet scientifique financé dans le cadre du programme SURFE de l’Observatoire de la Francophonie économique (OFE) de l’Université Montréal. Le projet portait sur les freins et les motivations de l’entrepreneuriat des jeunes au Maroc

Sur le plan professionnel, Safae Elotmani dispose d’une riche expérience en tant qu’assistante de recherche au Laboratoire des études prospectives et stratégie (EPS) sous la supervision du professeur Soulaimane Laghzaoui. Plus récemment, en 2020, elle enseigne au sein de l’Université de Mohamed V de Rabat un cours sur le management stratégique, l’entrepreneuriat et la création d’entreprise touristique.

Enfin, Safae a participé à la deuxième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2019 à janvier 2020) à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar au Sénégal.

Awa FALL

Université Cheikh Anta Diop de Dakar

Dakar, Sénégal

D’origine sénégalaise, Awa Fall est présentement doctorante en PhD à la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Titulaire d’un DEA en économie appliquée option économie de l’environnement et des ressources naturelles dans le cadre du Programme d’excellence de Troisième Cycle Interuniversitaire (PTCI) qui regroupe 18 pays d’Afrique subsaharienne francophone, elle poursuit ses recherches au laboratoire des analyses de politiques de développement (LAPD).

Ses champs d’intérêt en recherche sont, entre autres, la santé, l’environnement, les changements climatiques et les questions de croissance et d’économie verte. Elle a effectué des vacations au sein de la faculté des sciences économiques et de gestion de l’université de Dakar en qualité de chargé de travaux dirigés en analyse économique, comptabilité nationale et économie des finances publiques.

Awa Fall a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de trois mois et demi (mi-février à mai 2022) à l’Université de Yaoundé II SOA.

 

 

Akouvi GADEDJISSO-TOSSOU

Université de Lomé, Togo

D’origine togolaise, Akouvi Gadedjisso-Tossou s’est inscrite au programme de doctorat à la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion (FASEG) de l’Université de Lomé (Togo) au cours de l’année académique 2019-2020. Elle est titulaire de deux diplômes de licence en sciences de gestion (Comptabilité-Contrôle-Audit et Marketing-Stratégie) et d’un master en Comptabilité-Contrôle-Audit, tous obtenus à l’Université de Lomé.

Les travaux de Akouvi portent essentiellement sur les Institutions de Microfinance (IMFs) où elle s’intéresse aux questions du genre, gouvernance, performance et Responsabilité Sociale Environnementale (RSE). Elle élargit son champ de recherche à l’entreprenariat féminin. Sa thèse de doctorat s’intitule « La prise en compte du genre féminin dans la gouvernance et la performance des Institutions de Microfinance (IMFs) au Togo ». Simultanément avec ses études, elle a accumulé plusieurs années d’expériences en tant qu’auditrice interne et gestionnaire comptable dans des entreprises Togolaises.

Akouvi a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de quatre mois (février à mai 2022) à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

 

 

Euphrasie Joviale GUITEY

Université Alassane Ouattara

Bouaké, Côte d'Ivoire

Originaire de la Côte d'Ivoire, Euphrasie Joviale Guitey est doctorante en économie du développement à l’Université Alassane Ouattara de Bouaké. Titulaire d'un Master II de l’École doctorale de ladite université, ses recherches portent sur l'analyse des rendements scolaires des élèves du primaire à partir d'une étude environnementale. De manière spécifique elle s'intéresse aux effets que peut avoir l'environnement familial et scolaire des enfants sur leurs résultats de fin d'année.

Joviale a à son actif une expérience professionnelle riche et diversifiée. De septembre 2018 à octobre 2020, elle a occupé le poste d'assistante externe rattachée à la Direction des affaires financières d’une startup ivoirienne. Elle a également exercé en tant que consultante dans l'amélioration de la qualité de données sanitaires au Fsu communautaire toit rouge Abidjan (Côte d'Ivoire) au compte de Des chiffres et Des jeunes (DCDJ) qui est un projet du programme Data Collaboratives for Local Impact (DCLI) piloté par le Millennium Challenge Corporation (MCC) de janvier à septembre 2020. Au niveau académique elle fait partie du Laboratoire d’analyse et de modélisation de politique économique (LAMPE) de l’Université Alassane Ouattara de Bouaké.

Mlle Guitey a participé à la première édition du programme Formation pour jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de trois mois (octobre à décembre 2018) à l’Institut Supérieur de Gestion de Tunis.

Carine GOHORE

Université Paul-Valéry

Montpellier, France

Carine GOHORE est doctorante ivoirienne en Sociologie à l’Université Paul-Valéry de Montpellier (France). Après un Master 1 en « Socio-économie du Développement » à l’Université Alassane Ouattara (Côte d’Ivoire), obtenu en 2013, elle a intégré le Master 2 Recherche « Étude du développement » à l’Université Paul-Valéry en 2015. Ceci a favorisé sa participation à plusieurs études telles que : « Étude sur l’analyse genre dans la chaine de valeur riz dans le pôle de développement rizicole de Gagnoa en Côte d’Ivoire »; « Lien entre territoire, logiques migratoires et aménagements dans la zone de Richard-Toll au Sénégal ».

Ses recherches portent sur les études de Genre et développement ; l’inclusion et la réduction des inégalités ainsi que l’impact de l’action publique. Carine a cumulé plusieurs années d’expérience en tant que chargée d’études socio-économiste à Météa-environnement, puis au bureau national d’études techniques et de développement BNETD en Côte d’Ivoire. Elle est également membre du réseau POSOC 19 "POuvoirs et SOciétés face à la Crise du Covid-19" et de l’association "Genre En Action". Elle collabore avec l’Agence Plume Insert-Apli Internationale, une ONG de solidarité internationale qui œuvre pour la valorisation de la recherche genre et développement.

Carine est actuellement consultante au compte de l’entreprise Best-Dev Consulting. Elle est également présidente de l’association meilleur avenir pour la femme et l’enfant (AMAFE) en Côte d’Ivoire.

Mme Gohore a participé à la première édition du programme Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de trois mois (octobre à décembre 2018) à l'Université d’Abomey-Calavi au Bénin.

Ange Gnépa HOLO

Université Félix Houphouët-Boigny

Abidjan, Côte d'Ivoire

Originaire de la Côte d’Ivoire, Ange Gnépa Holo est doctorant au département des sciences économiques à l’Université Félix Houphouët Boigny (FHB) d’Abidjan. Il a une expérience aussi bien académique que professionnelle. Titulaire d’un Master de Recherche, il poursuit actuellement ses études en troisième année de thèse sur le thème : « Diagnostic de la situation des Jeunes et Efficacité de l’appariement des intermédiaires de placement sur le marché du travail en Côte d’Ivoire ».

Il est également Assistant de Recherches au Centre de Recherches Microéconomique du Développement (CREMIDE). À ce titre, il a bénéficié de plusieurs programmes de recherches nationaux et internationaux dans lesquels il a contribué à la rédaction de différents documents de recherches dont les rapports et policy briefs. En effet, il a été bénéficiaire du programme d’amélioration des politiques d’emploi en Afrique francophone financé par le Centre de Recherches pour le Développement International (CRDI), du programme sur l’inadéquation entre compétence et emploi en Côte d’Ivoire financé par l’ Agence Française de Développement (AFD) et du programme sur le renforcement des systèmes d’éducation afin de former une main-d’œuvre prête pour la quatrième révolution industrielle financé par le Centre africain pour la transformation économique (ACET). Il est aussi bénéficiaire de programmes de formation sur les méthodes d’évaluation d’impacts organisés au Cameroun par le Centre de Recherches en Économie et Gestion (CEREG) puis en Côte d’Ivoire par IZA et Tany Vao respectivement dans les villes d’Abidjan et de Dabou.

Ange Gnépa a par ailleurs occupé le poste de chargé d’études au Ministère de la Promotion de la Jeunesse, de l’Insertion Professionnelle et du Service Civique (MPJIPSC) qui est le Ministère Ivoirien en charge de l’insertion et l’emploi des jeunes. Il a enfin été Assistant de l’Expert commis par le Bureau International du Travail (BIT) en Côte d’Ivoire pour travailler sur la Stratégie Nationale d’Insertion professionnelle et d’Emploi des Jeunes (SNIEJ) dudit Ministère.

Ange Gnépa a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de trois mois et demi (mi-février à mai 2022) à l’Université de Yaoundé II SOA.

 

 

 

Eric KADIO

Université d’Aix-Marseille

France

Eric Kadio est titulaire d’une thèse de doctorat en sciences économiques de l’Université d’Aix-Marseille. Ses travaux, essentiellement empiriques, portent sur (i) le transfert des politiques publiques éducatives, (ii) la qualité des systèmes nationaux d'enseignement en Afrique de l’Ouest, (iii) l’opérationnalisation des théories de justice sociale en éducation, et (iv) l’articulation des méthodes qualitative et quantitative en sciences sociales.

Justifiant d’expériences cumulées en Afrique du Nord, de l’Ouest et du Centre, M. Kadio a participé à la première édition du Programme Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. A ce titre, il a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2018 à janvier 2019) à la Faculté des Sciences Economique et de Gestion de l’Université de Dschang au Cameroun.

Benoît KAFANDO

Université de Sherbrooke

Sherbrooke, Canada-Québec

Benoit Kafando est titulaire d'un Ph.D en économie du développement de l'Université de Sherbrooke au Canada et d’un diplôme d’études approfondies (DEA) du Programme de Troisième Cycle Interuniversitaire (PTCI). Il est en poste à l'Observatoire de la Francophonie économique comme Conseiller à la recherche. À ce poste, il assiste le directeur dans l'élaboration et la mise en œuvre du programme scientifique de l'Observatoire. Il participe aussi à la rédaction des notes de conjoncture économique et des rapports faisant état de la situation dans l'espace francophone.

Ses recherches portent sur le capital humain, les inégalités de revenu et la pauvreté dans les pays en développement. Plus spécifiquement, il s’intéresse aux effets de l’amélioration du capital humain sur la réduction des inégalités de revenu et la pauvreté. Récemment, il a développement un intérêt sur les question en lien avec le marché du travail ; il s'intéresse à l'adéquation entre l'offre de formation et les besoin du marché du travail.

Benoit a cumulé plusieurs années d’expérience en tant qu’assistant à la statistique à la division de l’accès aux micro-données de Statistique Canada. Il a également occupé le poste de conseiller économique au ministère de l’agriculture, de l’hydraulique et des ressources halieutiques du Burkina Faso.

Dans le milieu académique, il a enseigné sur la période allant de 2011 à 2020 dans plusieurs universités et grandes écoles au Burkina Faso, au Canada et au Maroc. Enfin, Benoit est membre du comité éditorial de la « Série des documents de recherche de l'Observatoire de la Francophonie économique ».

M. Kafando a participé à la deuxième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2019 à janvier 2020) à l’Université de Lomé au Togo.

Mukirania KAHAMBU

Université catholique du Graben

Nord-Kivu, RD Congo

Originaire de la République démocratique du Congo, Mukirania Kahambu est titulaire d’un doctorat de la faculté des sciences économiques, sociales, politiques et de communication de l’Université catholique de Louvain en Belgique et d’un diplôme d’études approfondies (DEA) en Économie rurale de l’Université catholique du Graben en RD Congo.

Enseignante et chercheuse affiliée au Centre de Recherche en Économie de Développement (CRED) de l’Université catholique du Graben et au Laboratoire d’Anthropologie Prospective (LAAP) de l’Université catholique de Louvain, elle s’intéresse au dialogue entre la recherche et les pratiques en matière de politiques de développement socio-économique. Ses champs de spécialisation sont l’économie rurale, la protection sociale et solidaire, l’anthropologie économique, l’innovation sociale et le management des compétences collectives. Son intérêt de recherche porte sur l’économie sociale et solidaire appliquée aux organisations locales de développement, à l’entrepreneuriat et l’emploi féminin.

Elle est également membre du comité scientifique du LAAP et du Centre de Recherche Interdisciplinaire du Graben (CRIG). Elle a accumulé des années d’expérience dans l’administration comme comptable et dans la coopération comme chercheuse et gestionnaire de projets de recherche à l’Université catholique du Graben en partenariat avec la Fédération Internationale des Universités Catholiques (FIUC) et le programme de Migrations pour le développement en Afrique (MIDA).

Mukirania Kahambu a, en plus, participé à la deuxième édition du programme Formation à la recherche de jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Elle a effectué son séjour de recherche à l’Université Ibn Tofaïl de Kenitra au Maroc où elle a réalisé une recherche sur « Le capital social et ses effets sur le développement des petites et moyennes entreprises congolaises » de novembre 2019 à mars 2020.

Eyitayo Raïnath KEGNIDE

Université de Parakou

Parakou, Bénin

D’origine béninoise, Eyitayo Raïnath Kegnide, est doctorante en Economie des Ressources naturelles à l’Ecole Doctorales des Sciences Agronomique et de l’Eau de l’Université de Parakou. Elle est titulaire d’un Master Recherche en économie des ressources naturelles de la même université.

Ses recherches portent sur l’analyse des déterminants des activités menées par les femmes rurales pour leur meilleure autonomisation. Spécifiquement, elle s’intéresse à la rentabilité des activités menées par les femmes, aux facteurs influençant cette rentabilité et à la contribution de leur revenu dans le ménage en Afrique de l’ouest.

Eyitayo Raïnath a cumulée plusieurs expériences en tant qu’assistante de recherche au Laboratoire d’Analyse et de Recherche sur les Dynamiques Economique et Sociale (LARDES) où, elle a participé à la rédaction et à la réalisation des projets de recherche, à la formation et au suivi des étudiants en licence. Actuellement responsable Suivi-Evaluation dans le cadre du projet de Résilience aux Changement Climatiques par la Gestion Intégrée de la Fertilité des Sols et la Gestion de l’eau (PRCC-GIFSE), elle est chargée de suivre et d’évaluer toutes les activités menées dans le cadre du projet. Toutefois, elle est attachée à l’enseignement comme une assistante des cours à la Faculté d’Agronomie de l’Université de Parakou.

Eyitayo Raïnath a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de trois mois (mars à mai 2022) à l’Université de Lomé.

 

 

Falingué KEÏTA 

Institut de Pédagogie Universitaire de Bamako, Mali

Originaire du Mali, Falingué Keïta est enseignant-chercheur vacataire à la Faculté des Sciences Économiques et de Gestion de Bamako (FSEG) et dans plusieurs Facultés Universitaires Privées de Bamako (UPMSC, ESGIC, INTEC-SUP, INSTITUT VITO-S, UIE Tuniso-Malienne).

Doctorant en Economie à l’Institut de Pédagogie Universitaire de Bamako (IPU) et détenteur d’un Diplôme d’Etude Approfondie (DEA) en Economie Appliquée du Programme de Troisième Cycle Inter-Universitaire (PTCI) à l’Université Ouaga II (actuelle Université Thomas Sankara) au Burkina Faso. Ses recherches doctorales portent sur : «  les Effets de l’Adoption et des Usages d’Internet Mobile et la Réduction de la Pauvreté au Mali ».

Assistant de recherche au Groupe de Recherche en Economie Solidaire et Industrielle (GRESI) et Consultant-formateur indépendant et associé. Ses champs de recherche portent sur : Inégalité Numérique et Pauvreté, Économie Industrielle, Économie de l’Innovation, Économie Numérique, Croissance Économique, Développement Économique Local. Falingué enregistre à son actif plusieurs articles scientifiques et d’autres en cours de publication.

Falingué a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de quatre mois (février à mai 2022) à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

 

Fambari KOKOU ATCHI  

Université de Kara, Togo

Originaire du Togo, Kokou Fambari est actuellement un Attaché Temporaire d’Enseignement et de Recherche (ATER) à l’Université de Kara (TOGO). Il est titulaire d’un Doctorat en science économiques, spécialité « Monnaie, Finance et Développement » obtenu en 2021 à l’Université de Kara. Il s’intéresse plus spécifiquement aux questions en lien avec l’inclusion financière, la pauvreté et le développement inclusif. Sa thèse de doctorat en sciences économiques a porté sur le thème : inclusion financière et pauvreté multidimensionnelle au Togo.

Kokou Fambari cumule une expérience professionnelle de quatre ans dont trois ans comme Attaché Temporaire d’Enseignement et de Recherche (ATER) à l’Université de Kara, et un an comme économiste au Fonds National de la Finance inclusive au Togo. Depuis 2018 jusqu’à ce jour, il est chargé de travaux dirigés (TD) à la faculté des sciences économiques et de gestion (FASEG) de l’Université de Kara, dans les matières telles que la microéconomie, la macroéconomie, les techniques quantitatives (la statistique descriptive, la mathématique analyse, l’économétrie).

Fambari Kokou a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de quatre mois (février à mai 2022) à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

 

Romaric KOUAME

Université Allassane Ouattara 

Bouaké, Côte d’Ivoire

Romaric Kouakou KOUAME, de nationalité ivoirienne, est actuellement doctorant en instance de soutenance en Sciences économiques, spécialité « Politiques Économiques et Modélisation » à l’Unité de Formation et de Recherche des Sciences Économiques et Développement (UFR SED) de l’Université Alassane Ouattara de Bouaké (Côte d’Ivoire). Il est également titulaire d’un master de recherche en « Politiques Économiques et Modélisation :» de cette même université. Ses principaux centres d’intérêt portent sur la problématique des asymétries d’information dans les contrats d’assurance. Il s’intéresse en particulier aux problèmes d’aléa moral dans les contrats d’assurance maladie dans les pays en développement et plus particulièrement en Côte d’Ivoire. Il s’intéresse également à l’économie du développement, de la santé et de l’assurance. Il est assistant de recherche au laboratoire d’Analyse et de Modélisation des Politiques Économiques (LAMPE) du Centre de Recherche pour le développement (CRD) de l’Université Alassane Ouattara de Bouaké depuis 2018, ainsi qu’au Laboratoire des Sciences des Technologies de l’Information et de la Communication (LASTIC) depuis 2019. Il a participé à la quatrième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de trois mois (mai à août 2023) à l’Université de Yaoundé II-SOA au Cameroun.

Romaric a participé à la quatrième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de trois mois (mai à août 2023) à l’Université Yaoundé II, au Cameroun.

Mazignada Sika LIMAZIE

Université de Lomé

Lomé, Togo

Originaire du Togo, Mazignada Sika Limazie est doctorante en sciences économiques à l’Université de Lomé au Togo. Elle est titulaire d’un Master de recherche en analyse et politique économique de la même université.

Ses axes de recherche portent sur l’économie agricole et le changement climatique. Particulièrement, Mazignada Sika focalise ses recherches sur l’effet économique du changement climatique sur la production, la commercialisation et le bien-être des producteurs du riz dans l’espace CEDEAO. Elle étend également ses recherches aux analyses de coûts-efficacité des mesures ou des stratégies d’adaptation et d’atténuation du changement climatique. Elle a cumulé des expériences efficaces en tant qu’assistante de recherche au Centre de Recherche des Sciences Économiques et de Gestion (CERFEG) de l’Université de Lomé et en tant que chargée d’étude au Bureau d’Etude Comptable, Economique et Commerciale (BECEC-TOGO).

Mazignada Sika a participé à la deuxième édition du programme Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2019 à janvier 2020) à l’Université Felix Houphouët Boigny à Abidjan en Côte d’Ivoire.

Marienne MAKOUDEM TENE

Ministère de la recherche scientifique et de l'innovation

Cameroun

Titulaire d’un Master en Analyse et Politique Economique, Marienne MAKOUDEM TENE est chercheuse depuis 2011 au Département des Etudes Economiques et Environnementales au Centre National d’Education, seul centre de recherche public en sciences sociales sous-tutelle du Ministère de la Recherche Scientifique et de l’Innovation au Cameroun. Ses champs de recherche sont l’économie de développement, les questions de femmes et la consolidation de la paix.

Son engagement dans la recherche se fait sur trois fronts. En tant que chercheuse, elle a bénéficié tour à tour d’un stage de recherche à l’Institut des Hautes Etudes Internationales et du Développement sous la bourse d’excellence de la Confédération Suisse en 2014 et un stage à l’Organisation Mondiale du Commerce en 2017. Ces expériences couplées aux publications scientifiques faites individuellement ou en équipe lui ont permis de gagner en 2018 le Prix du meilleur chercheur junior 2017 en sciences sociales décerné par son ministère puis le Prix INGSA Africa 2019 de la catégorie "Proposition d'article pour la dissémination du Conseil scientifique aux Gouvernements en Afrique".

En plus de son travail dans la recherche, elle travaille activement dans le plaidoyer pour l’amélioration du cadre juridique du secteur de la recherche et la structuration du Système National de la recherche au Cameroun à travers son rôle comme Secrétaire Générale du bureau national du Syndicat National des Chercheurs du Secteur public (SYNAC) depuis 2018 et a été reconduite dans ses fonctions lors de l’Assemblée Générale qui s’est tenue le 27 novembre 2020.

Le troisième front de son engagement dans la recherche est la création d’une maison d’édition nommée « Chenou’o Editions » qui se donne comme objectif de démocratiser le monde de l’édition et vise la publication des ouvrages scientifiques et de littérature générale.

Mme Makoudem Tene a participé à la première édition du programme Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2018 à janvier 2019) à l'Université d’Abomey-Calavi au Bénin.

Yselle MALAH KUETE 

Université de Yaoundé II SOA, Cameroun

D’origine camerounaise, Yselle Malah Kuete est actuellement enseignante à la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de l’Université de Yaoundé 2 au Cameroun.

Elle est titulaire d’un Doctorat en sciences économique, spécialité "Economie de l’environnement, de l’agriculture et des ressources naturelles", obtenu en Novembre 2021 à l’Université de Dschang (Cameroun), sous la codirection des Professeurs Désiré Avom (Université de Yaoundé 2) et Désiré Omgba (Université de Lorraine).

Ses travaux et publications portent sur (i) les enjeux de la diversification et la transformation structurelle en Afrique, (ii) les déterminants de la participation des pays africains aux chaines de valeur mondiales, (iii) les inégalités de genre sur le marché du travail, (iv) et les déterminants du bien-être dans les pays en développement.

Mlle. Yselle Malah dispose également d’une expérience dans le monde académique, où elle a dispensé les cours de Macroéconomie, Microéconomie, Mathématique générale et Statistiques dans plusieurs Universités et Institut Privé d'Enseignement Supérieur du Cameroun. 

Yselle Malah a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de quatre mois (février à mai 2022) à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

 

 

Nadine Mbaïbedjé MOGODE

Université de N'Djamena

N'Djamena, Tchad

D'origine tchadienne, Naine Mbaïbedjé Mogode est enseignante à l’Université de N’Djamena au Tchad en économie des politiques publiques. Elle est actuellement doctorante à l’Université d'Orléans en France. Elle est titulaire d’un diplôme d’études approfondies (DEA) en économie de l’environnement du Programme de Troisième Cycle Interuniversitaire (PTCI) au Sénégal.

Ses domaines de spécialisation sont l’économie de l’énergie et l'économie du développement. Elle a participé à plusieurs conférences internationales de haut niveau notamment à l’Université de Plattsburgh aux états Unies sur la transformation socio-économique globale dans les pays en développement. Elle a également été consultante pour des formations sur le Budget Citoyen 2016 du Tchad pour le Centre de Réflexion et d’Orientation sur la Soutenabilité de l’Economie Tchadienne.

Elle milite aussi activement dans le milieu associatif. Entre autres, elle fait partie des volontaires en ligne des Nations Unies et elle est analyste principal du think thank l’Afrique des idées. Elle est également trésorière de l’association La Vie Solaire, qui a pour but de préserver l’environnement local en contribuant au développement socio-économique des populations de la périphérie de N’Djamena par la distribution de cuiseurs solaires.

Mme Mogode a participé à la première édition du programme Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de trois mois (octobre à décembre 2018) à l'Institut Supérieur de Gestion (ISG) de l'Université de Tunis en Tunisie.

Gracia MOSUNGA MOKONDI

Université d'Abomey-Calavi au Benin/ Université de Félix Houphouët-Boigny en Côte d'Ivoire

Originaire de la République Démocratique du Congo, Gracia Mosunga Mokondi est doctorante en économie à l’Université d’Abomey-Calavi au Bénin et à l’Université Félix Houphouët-Boigny en Côte d’Ivoire dans le cadre d’une cotutelle internationale de thèse. Elle est titulaire d’un Master Recherche en macroéconomie ouverte du Programme de Troisième Cycle Interuniversitaire (PTCI) au campus de l’Université d’Abomey-Calavi du Bénin. Ses recherches portent sur la politique monétaire, la politique budgétaire et l’ouverture commerciale.

Sur le plan professionnel, Gracia est assistante à la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de l’Université de Kisangani en République Démocratique du Congo depuis 2018.

Gracia a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de quatre mois (février à mai 2022) à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

 

 

Messieurs MOUKOKO

Université Marien Ngouabi

Brazzaville, Congo

Originaire du Congo Brazzaville, Messieurs Moukoko est actuellement doctorant en économie industrielle à la Faculté des sciences économiques de l’Université Marien Ngouabi. Il est titulaire d’un Master Recherche en économie industrielle du Programme de Troisième Cycle Interuniversitaire au campus de l’Université d’Abomey-Calavi du Benin, d’une Licence en économie d’entreprise et d’une Licence professionnelle en comptabilité et finance d’entreprise. Ses principaux intérêts de recherche concernent les investissements directs étrangers, l’organisation des entreprises, l’entrepreneuriat, la stratégie des firmes, et la concurrence.

Sur le plan professionnel, il est chargé d’encadrement technique et professionnel à la Faculté des sciences économiques de l’Université Marien Ngouabi. Il a plusieurs années d’expériences en tant que consultant en études de marché et études statistiques au Bénin, en RDC et au Congo, et en monitoring pour des projets de l'USAID.

Monsieur Messieurs Moukoko a participé à la deuxième édition du programme Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Dans le cadre de ce programme, il a effectué un séjour de recherche de quatre mois (d’octobre 2019 à février 2020) à l’Université de Dschang au Cameroun.

Moustapha MOUNMENI

Université de Maroua 

Maroua, Cameroun

Moustapha Mounmeni est titulaire d’une licence en Sciences économiques, d’un master en microéconomie du développement. Doctorant à l’Université de Maroua en attente de soutenance  de thèse en économie de l’environnement, il s’intéresse aux questions énergétiques en relation avec le changement climatique, le management des ressources naturelles avec une concentration sur l’optimisation du mix énergétique dans une perspective base carbone, sur l’analyse de la croissance de la productivité énergétique corrigée des émissions de CO2, sur la durabilité de l’exploitation du bois-énergie et sur la défaillance institutionnelle. Des résultats de ses travaux ont été présentés dans des conférences internationales et certains de ses papiers sont en cours de publication. En plus d’avoir obtenu la bourse de mobilité FORJE, il a obtenu une bourse de mobilité Sud-Sud en Science de l’environnement de la francophonie à l’Université fédérale de Rio de Janeiro au sein du laboratoire GeoAfrica. Il a été aussi lauréat du aspire grant program of conservation action research network de l’institut de durabilité de l’Université de Californie.

Moustapha a participé à la quatrième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de trois mois (mai à août 2023) à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, au Sénégal.

Asta NDONGO

Université Cheikh Anta Diop de Dakar

Dakar, Sénégal

D’origine Sénégalaise, Asta Ndongo est doctorante en sciences économiques à l’Université Cheikh Anta de Dakar (UCAD). Elle est titulaire d’un Master 2 de Recherche en « Systèmes Complexes » options : Mathématiques-Informatique-Techniques quantitatives de l’école Supérieure Polytechnique de Dakar (ESP) et d’un Master 1 en Sciences Economiques à la Faculté des Sciences économiques et de Gestion de l’UCAD.

Ses travaux de recherche portent sur les questions d’intégration régionale et de politique de change dans les pays en développement. Elle travaille actuellement sur les questions du choix du régime de change optimal de la future monnaie unique de la CEDEAO afin de minimiser les chocs macroéconomiques (chocs réels, monétaires et externes).

Asta a également acquis des expériences dans le monde académique et professionnel. Elle a effectué un stage de six mois au siège de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest en tant que superviseur des institutions de mircofinance et d’un mois au Pyramid Consulting en tant que comptable. Par ailleurs, elle a participé à l’atelier de renforcement des capacités des chercheurs de l’UEMOA portant sur le thème « Fondamentaux de la méthodologie de recherche en sciences économiques et de la rédaction d’une proposition de recherche » organisé par le COFEB-BCEAO en avril 2021. Enfin, elle est enseignante-vacataire depuis 2019 à la FASEG.

Asta a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de trois mois et demi (mi-février à mai 2022) à l’Université de Yaoundé II SOA.

 

 

Mamadou Laye NDOYE

Université cheikh Anta Diop

Dakar, Sénégal

D’origine sénégalaise, Mamadou est enseignant-chercheur à la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Il est titulaire d’un doctorat en économie et d’un diplôme d’études approfondies en économie appliquée option Macroéconomie Appliquée du Programme de Troisième Cycle Interuniversitaire qui regroupe 18 pays d’Afrique subsaharienne francophone.

Ses publications portent essentiellement sur les réformes commerciales et fiscales, la croissance économique, la productivité et récemment l’évaluation d’impact et le marché du travail. Mamadou a eu à coordonner plusieurs projets de recherche en collaboration avec l’African Economic Research Consortium (AERC), le Centre de Recherche pour le Développement International (CRDI), le West African Research Center (WARC) etc.

M. Ndoye a participé à la première édition du programme Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE). Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2018 à janvier 2019) à l’Université d’Abomey-Calavi (UAC) au Bénin.

Flore Jacky NGO NSOA SIMB

Université de Dschang

Cameroun

Je suis Jacky Flore Ngo Nsoa Simb citoyenne camerounaise, née et résidente au Cameroun. Je suis titulaire d’une maitrise en mathématiques financières et d’un Master en Micro-économie du développement de l’Université de Yaoundé II. Pendant les années antérieures j’ai exercé des stages dans quelques structures et startup à Yaoundé (Cameroun).

Actuellement je suis inscrite en deuxième année de thèse de Doctorat à la faculté des sciences économiques et de gestion de l’Université de Dschang (Option : Economie publique et du bien-être).

Mon champ de recherche en cycle de doctorat couvre les problématiques de la question du genre en Sciences économiques et de la santé maternelle notamment à travers l’analyse des effets économiques de l’autonomisation des femmes dans les pays en développement et particulièrement en Afrique. Je suis également membre de l’Association des Chercheurs en Economie du Développement Appliquée (ACEDA) depuis Aout 2021.

Flore Jacky a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de trois mois et demi (mi-février à mai 2022) à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

 

 

Christiane Pélagie OSSIN

Université Félix Houphouët-Boigny

Abidjan, Côte d'Ivoire

Christiane Pélagie Ossin est doctorante en sciences économiques et assistante de recherche au Centre de Recherches Microéconomiques du Développement (CREMIDE) à l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan. Ses travaux de recherche portent sur l’analyse de l’épargne rurale. Sa thèse s’appuie sur une nouvelle manière d’appréhender et de mobiliser l’épargne dans les pays africains, en particulier dans le monde rural. Son ambition est d’œuvrer pour le développement du milieu rural en Afrique par la participation effective des populations rurales au marché financier, qui leur est difficilement accessible.

Mme Ossin a participé à la première édition du programme Formation à la recherche des jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. A cet effet, elle a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2018 à janvier 2019) à la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de l’Université de Dschang au Cameroun.

Mathata Mireille OUATTARA

Université Félix Houphouët-Boigny

Abidjan, Côte d'Ivoire

D’origine ivoirienne, Mathata Mireille Pulchérie-Laure Ouattara est inscrite en thèse d’Histoire moderne et contemporaine à l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan. Elle est également doctorante associée dans le programme doctoral Cuso Gender de l’Université de Génève. De plus, elle est titulaire d’un certificat en “Genre Concepts et Approches” délivré par l’Université de Rennes 2 en collaboration avec l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF).

Particulièrement sensible à la question du genre et aux activités qui favorisent l’égalité des sexes, Mireille a décidé de faire une thèse en histoire économique et sociale portant sur la thématique du genre. Ce travail vise à promouvoir l’automatisation économique de la femme africaine à travers l’histoire des femmes commerçantes Dioula de Côte-d’Ivoire.

Mireille fait partie de la première promotion de stagiaires de l’Observatoire de la Francophonie économique (OFE). Son stage a eu lieu en République démocratique du Congo et son projet a porté sur « l’entrepreneuriat féminin et l’autonomisation économique des femmes commerçantes de Côte-d’Ivoire ». Elle a par ailleurs participé aux deux premières conférences internationales sur la Francophonie économique organisées par l’OFE à Dakar (février, 2019) et à Rabat (mars, 2020).

Nadjaman OUATTARA

Université Alassane Ouattara

Bouaké, Côte d'Ivoire

De nationalité ivoirienne, Nadjaman Ouattara est actuellement doctorante en Sciences Economiques, spécialité « Politiques Economiques et Modélisation » à l’Unité de Formation et de Recherche des Sciences Economiques et Développement (UFR SED) de l’Université Alassane Ouattara de Bouaké (Côte d’Ivoire). Elle est titulaire d’un Master de Recherche en « Politiques Economiques et Modélisation », obtenu en 2018 dans ladite université.

Les principaux centres d’intérêt de Nadjaman portent sur la problématique des inégalités d’opportunités et leur dynamique, et celle de l’Evaluation d’impacts des politiques publiques. Elle s’intéresse particulièrement à l’analyse des inégalités d’opportunités d’accès aux services sociaux de base ainsi qu’à leur mobilité intergénérationnelle dans les pays en développement en général et singulièrement en Côte d’Ivoire.

Nadjaman est assistante de recherche au Laboratoire d’Analyse et de Modélisation des Politiques Economiques (LAMPE) du Centre de Recherche pour le Développement à l’Université Alassane Ouattara de Bouaké depuis 2018. A ce titre, elle a participé à plusieurs évaluations de politiques publiques notamment l’étude sur les jeux de hasard et celle sur la promotion de l’accès aux toilettes et aux emplois dans le cadre du projet PATER (Promotion de l’Accès aux Toilettes et aux Emplois à Bouaké et Katiola à travers la Réutilisation des boues et des urines).

En outre, Nadjaman a contribué en tant que chercheure junior à la mise en oeuvre de la convention de recherche entre le Laboratoire d’Analyse et de Modélisation des Politiques Economiques (LAMPE) et l’Agence Française de Développement (AFD) portant sur les « Inégalités en Côte d’Ivoire : diagnostic, accès aux services de base et impact des politiques publiques » dans le cadre de la facilité de recherche de l’Union Européenne sur les inégalités.

Nadjaman est lauréate du Prix National d’Excellence édition 2021 pour la catégorie « Prix d’Excellence du Meilleur Etudiant ».

Nadjaman a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de trois mois (mars à mai 2022) à l’Université de Lomé.

 

 

Souleymane OUONOGO

Université des Sciences Sociales et de Gestion

Bamako, Mali

Originaire du Mali, Souleymane Ouonogo est enseignant à l’Université des Sciences Sociales et de Gestion de Bamako (Mali). Après l’obtention d’un Master en Economie Appliquée du Nouveau Programme de Troisième Cycle Inter Universitaire (NPTCI), il prépare un doctorat à l’Université Gaston Berger de Saint Louis au Sénégal. Ses recherches doctorales portent sur les flux financiers illicites en Afrique subsaharienne.

Ses champs de recherche couvrent d’autres thématiques dont la croissance économique, les conflits et le terrorisme. Les travaux de Souleymane l’ont conduit à effectuer des séjours de recherche dans des universités des pays du nord et du sud, et à faire des publications.

M. Ouonogo a participé à la première édition du programme de Formation à la recherche des jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2018 à janvier 2019) à la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de l’Université de Dschang au Cameroun.

Mezédom PANESSE

Université de Lomé

Lomé, Togo

Originaire du Togo, Mezédom Panesse est doctorante en sciences économique à l’Université de Lomé au Togo. Elle est titulaire d’une maîtrise en Economie Rurale et de l’Environnement (ERE) de l’Université de Kara et d’un Diplôme d’études approfondies (DEA) en Economie des Ressources Humaines du Nouveau Programme de Troisième Cycle Interuniversitaire (NPTCI).

Ses champs de spécialisation sont l’économie de l’éducation, l’économie industrielle et l’économie agricole. Elle s’intéresse actuellement aux questions liées au fonctionnement des marchés agricoles ainsi qu’au bien-être des producteurs agricoles en Afrique de l’Ouest. Depuis 2013, elle est chargée de travaux dirigés (TD) à la Faculté des sciences économiques et de gestion (FASEG) de l’Université de Kara dans des matières telles que la microéconomie, la macroéconomie et les techniques quantitatives (la statistique descriptive, l'analyse mathématique et l’économétrie).

Mme Panesse a participé à la deuxième édition du programme Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2019 à janvier 2020) à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar au Sénégal.

Arnode ROLFFE NGOMBI

Université Marien N'Gouabi de Brazzaville, Congo

Originaire du Congo Brazzaville, Arnode Rolffe Ngombi est actuellement en de Deuxième année de doctorat en économie appliquée à la Faculté des Sciences Economiques de l’Université Marien N’GOUABI de Brazzaville et membre du Laboratoire de Recherches et d’Etudes Economiques et Sociales (LARES). Il est titulaire d’un Master en Economie des Institutions Publiques et Gouvernance et détenteur d’une Licence en Economie Publique au sein de la Faculté des Sciences économiques.

Ses axes de recherches portent généralement sur la macroéconomie et particulièrement sur les questions de politiques économiques, d’endettement des pays Africains, des fluctuations des grandeurs macroéconomiques des pays Africains. Il est co-auteur d’un article intitulé les effets de la dette publique extérieure sur la croissance économique cas de la république du Congo. Il rédige une thèse sur le cycle de politique budgétaire et le cycle de pauvreté dans les pays membres de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale.

Sur le plan professionnel, Arnode Rolffe est chargé d’encadrement technique et professionnel à la Faculté des Sciences Economiques de l’Université Marien N’GOUABI. Il intervient spécifiquement en première année lors des travaux dirigés de Macroéconomie.

Arnode Rolffe a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de trois mois et demi (mi-février à mai 2022) à l’Université de Yaoundé II SOA.

 

 

Junior SAGNE

Université de Yaoundé II

Yaoundé, Cameroun

D’origine camerounaise, Junior Sagne est doctorant en Relations internationales à l’Institut des Relations Internationales du Cameroun (Université de Yaoundé II). Il est titulaire d’un master dans la même spécialité, obtenu dans le même institut.

Ses champs de spécialisation sont notamment l’analyse et l’évaluation des politiques publiques nationales et internationales; l’accompagnement entrepreneurial des jeunes et l’intelligence économique.

Junior cumule une expérience de plusieurs années en tant que chercheur au Centre national d’éducation, Ministère de la recherche scientifique et de l’innovation du Cameroun. Il occupe en même temps au sein de ce ministère, une fonction de chargée d’études assistant.

M. Sagne a participé à la première édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2018 à janvier 2019) à l’Université Kongo en République démocratique du Congo.

Mame Cheikh Anta SALL

Université Cheikh Anta Diop

Dakar, Sénégal

Originaire du Sénégal, Mame Cheikh Anta SALL est titulaire d’un DEA en économie appliquée dans le cadre du Programme d’excellence de Troisième Cycle Interuniversitaire (PTCI) et d’un Doctorat en sciences économiques à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Actuellement, il poursuit ses recherches au sein du Laboratoire de recherche sur les Institutions et la Croissance (LINC). Ses champs d’intérêt en recherche sont, entre autres, le genre, la protection sociale, le marché du travail et les questions de croissance et d’économie verte.

Dr Sall a accumulé plusieurs expériences en tant qu’assistant de recherche au LINC, stagiaire de l’Observatoire de la Francophonie économique (OFE) dans le cadre du programme FORJE, économiste consultant à la Direction des Financements Verts et des Partenariats (DFVP) du Ministère de l’Environnement et du Développement Durable (MEDD, Sénégal), et en tant que consultant indépendant avec la Coopération Allemande (GIZ) dans le domaine des politiques publiques, de l’économie verte et des risques climatiques. Dans le milieu académique, il est enseignant-vacataire à la FASEG (UCAD) et chargé de cours dans les établissements privés d’enseignement supérieur.

M. Sall a participé à la deuxième édition du programme Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE). Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de quatre mois (novembre 2019 à mars 2020) à l’Université de Mohammed V de Rabat au Maroc.

Insa SANE

Université Assane Seck de Ziguinchor 

Ziguinchor, Sénégal

Insa SANE, est de nationalité sénégalaise, Dr. Sane est actuellement enseignant-chercheur vacataire à l’UFR Sciences économiques et Sociales de l’Université Assane Seck de Ziguinchor (UASZ) (Sénégal). Il est titulaire d’un doctorat en Sciences économiques, spécialité Analyse économique et économétrie obtenu en 2022 à l’UASZ. Dr. Insa SANE dispose d’une expérience en enseignement depuis 2018 dans le monde académique et professionnel. Bénéficiaire du Programme FORJE, il a effectué son stage de recherche à l’Université de Lomé (Togo). Il a, par ailleurs, à son actif plusieurs communications dans des colloques internationaux et participations à des rencontres internationales. Auteur de plusieurs publications scientifiques, les centres d’intérêt du Dr. Insa SANE portent essentiellement sur l’économie du développement et la macroéconomie.  

Insa a participé à la quatrième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de trois mois (mai à août 2023) à l’Université de Lomé, au Togo.

Amira SGHAIER

Université de Tunis

Tunis, Tunisie

D’origine tunisienne, Amira Sghaier est doctorante à l’Institut Supérieur de Gestion (ISG) de l’Université de Tunis. Le thème de sa thèse de doctorat est : « Autonomisation des femmes et croissance économique en Tunisie : une approche par le Vecteur Autorégressif (VAR) ». Ses domaines de spécialisation sont l’économie de l’énergie et l’économie des déchets.

Amira est également enseignante à l’Institut Supérieur de Transport et de la logistique de Sousse (ISTLS). De plus, elle a participé à des colloques et ateliers sur diverses thématiques dont l’entrepreneuriat, le travail des femmes et la gestion des déchets. Elle a également été stagiaire dans un programme de recherche conjoint entre l’Université de Tunis et l’Université de Leipzig "ACCESS" (African Centre for Career, Enhancement & Skills Support) pour une période de 3 mois (octobre à décembre 2020). Son sujet de recherche dans le cadre de ce stage était : « Employabilité des femmes et gestion des déchets : études théoriques et application en Tunisie ».

Enfin, Amira a participé à la deuxième édition du programme Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2019 à janvier 2020) à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar au Sénégal.

Sévérin TAMWO

Université de Yaoundé II - Soa 

Yaoundé, Cameroun

Sévérin TAMWO, d’origine camerounaise, est actuellement doctorant à la Faculté des sciences économiques et de gestion de l’Université de Yaoundé 2-Soa au Cameroun. Il est titulaire d’un master obtenu dans un cadre coopératif entre l’Université de Yaoundé 2-Soa (Cameroun) et l’Université de Rennes 1 (France), option Ingénierie économique et financière. Son principal centre d’intérêt est orienté sur la problématique des migrations internationales. Il explore également des centres connexes focalisés sur les questions entrepreneuriales, la production agricole, la santé, les conflits et le changement climatique. M. Tamwo a également participé à plusieurs séjours de recherche notamment le programme de bourses Eugen Ionescu, réalisé à l’Université Alexandru Ioan de Cuza (Roumanie) en 2021 et le programme de bourses UNU-WIDER (United Nations University-World Institute for Development Economics) en 2021, tenu en ligne en raison de la COVID-19. À son actif, il possède plusieurs publications notamment celle intitulée, Does poverty increase COVID-19 in Africa ? a cross-country analysis, publiée en 2022 à la revue Health Economics Review. M. Tamwo a participé à la quatrième édition du programme FORJE en effectuant un séjour de recherche de trois mois (mai 2023 à août 2023) à la Cellule d’analyse des politiques économiques du CIRES (Université Félix Boigny, Abidjan-Côte d’Ivoire).

Sévérin a participé à la quatrième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de trois mois (mai à août 2023) à l’Université Félix Houphouët-Boigny, en Côte d'Ivoire.

Joséphine TCHAKOUNTÉ

Université de Lomé 

Lomé, Togo

Joséphine TCHAKOUNTÉ, d’origine camerounaise, Tchakounté Joséphine est docteur en sciences économiques à l’Université de Lomé au Togo. Elle a obtenu un Master de recherche en monnaie banque et finance à l'Université de Dschang au Cameroun. Ce parcours a été complété par 3 projets de recherche scientifique avec certaines organisations internationales. Depuis trois ans, Joséphine Tchakounté est enseignante vacataire dans les universités privées du Cameroun. Ses champs d'analyse sont la finance incluse, l’agro-industrie et l'éducation. En 2023, elle a obtenu le prix des meilleures thèses de la chaire UNESCO. Elle s’intéresse actuellement aux effets de la concurrence sur l'inclusion financière, la pauvreté et la performance du secteur de la microfinance en Afrique. À ce jour, Joséphine Tchakounté enregistre à son actif, 4 articles scientifiques déjà publiés et plusieurs autres articles en cours de finalisation.

Joséphine a participé à la quatrième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de trois mois (mai à août 2023) à l’Université Félix Houphouët-Boigny, en Côte d'Ivoire.

Ané Landry TANOH

Université Alassane Ouattara

Bouaké, Côte d'Ivoire

Citoyen ivoirien, né et résident en Côte d’Ivoire, je suis un doctorant en géographie de la population à l’Université Alassane Ouattara (Bouaké, Côte d’Ivoire). Je suis également titulaire d’un Master de recherche et d’une maîtrise appliquée en géographie de la population dans ladite Université.

Mes champs d’intérêt en matière de recherche couvrent la problématique du genre, la scolarisation des enfants, surtout les inégalités scolaires entre les sexes, et les politiques éducatives. À cet effet, j’ai réalisé plusieurs travaux de recherche scientifiques sur ces thématiques énumérées. Cette situation a permis une affiliation au Réseau Ouest et Centre Africain de Recherche en éducation (ROCARE) depuis janvier 2016. Enfin, j’ai participé à plusieurs ateliers d’initiation en occurrence la cartographie assistée à l’ordinateur, le projet SIG (Système d’Information Géographiques), les concepts TIC (Technologie de l’Information et de la Communication), les phénomènes démographiques, le protocole de recherche en sciences sociales ainsi que des colloques nationaux et internationaux.

M. Tanoh a participé à la deuxième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2019 à janvier 2020) à l’Université de Lomé au Togo.

Louis Kouessi TCHONKLOE

Université d'Abomey-Calavi

Cotounou, Bénin

D’origine béninoise, Louis Kouessi Tchonkloe est doctorant en Sciences économiques à l’Université d’Abomey-Calavi. Il est titulaire d’un Diplôme de Master Recherche en Sciences économiques, option Macroéconomie du Programme de Troisième Cycle Interuniversitaire (PTCI), d’une Maîtrise et d’une Licence en Economie et Finance Internationales.

Il est macroéconomiste de développement et se penche beaucoup plus sur les questions relatives au changement climatique ; aux migrations et au bien-être des populations de l’Afrique subsaharienne. Ses travaux de thèse portent sur les impacts des migrations climatiques sur la sécurité alimentaire des populations des pays de la CEDEAO.

Louis Kouessi est membre du Réseau des Jeunes Economistes de la Commission Economique pour l’Afrique (RJE-CEA) et des laboratoires d’Economie des Systèmes Socio-Ecologiques et de la Population (LESEP) de l’Université d’Abomey-Calavi et de Recherche en Economie et Gestion (LAREG) de l’Université de Parakou.

Louis Kouessi a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de trois mois (mars à mai 2022) à l’Université de Yaoundé II SOA.

 

 

Mamaye THIONGANE

Université Cheikh Anta Diop

Dakar, Sénégal

Originaire du Sénégal, Mamaye Thiongane est titulaire d’un diplôme d’études approfondies en économie appliquée (spécialité : économie des ressources humaines) du programme de troisième cycle interuniversitaire (PTCI) et d’un doctorat en sciences économiques de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD).

Spécialiste des analyses sur le capital humain, le marché du travail et des questions relatives au genre, il est actuellement chercheur associé au Consortium régional de recherche en économie générationnelle (CREG). Avec les autres experts de l’unité production scientifique au sein du CREG, ses taches consistent en la réalisation des travaux liés à la dimension 3 (Dynamiques de la pauvreté), la dimension 4 (Capital humain), la dimension 5 (Réseaux et territoires) et la dimension synthétique d’analyse de la capture du dividende démographique (Indice synthétique de suivi du dividende démographique DDMI). Par ailleurs, il est enseignant-vacataire à la Faculté des sciences économiques et de gestion (FASEG) de l’UCAD. Dans le cadre d’assistanat à l’Université de Thiès, il a aussi régulièrement pris en charge les travaux dirigés et les travaux pratiques en économétrie et modélisation financière.

M. Thiongane a participé à la première édition du programme Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE). Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de trois mois (octobre à décembre 2018) à l’Institut Supérieur de Gestion (ISG) de Tunis.

Aya TRAORÉ

Université Félix Houphouët-Boigny, Côte d'Ivoire

Aya Traoré originaire du Mali, Doctorante en Economie Appliquée sous le Programme du Troisième Cycle Interuniversitaire (PTCI), Ph.D cents femmes docteures à l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody (UFHB). Mes travaux de recherche portent sur l’économie du développement. Ma thèse porte sur l’emploi informel, les inégalités de revenu et la pauvreté. Plus spécifiquement j’analyse l’effet de l’emploi informel, les inégalités des revenus sur la pauvreté au Mali.

J’ai eu mon DEA en Economie Appliquée sous le programme PTCI à l’Université de Ouaga II (actuelle Université Thomas Sankara) du Burkina Faso Mon thème de recherche était « Déterminants de l’accès des femmes à l’emploi dans le secteur formel au Mali ».

Aya a participé à la troisième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de quatre mois (février à mai 2022) à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

 

 

Soumaïla WONI

Université Thomas Sankara

Ouagadougou, Burkina Faso

Originaire du Burkina Faso, Soumaïla Woni est doctorant en économie à l’Université Thomas Sankara (ex Université Ouaga II). Il est titulaire d’un Master de recherche en Macroéconomie Appliquée et Finance Internationale de la même université. Ses recherches portent sur des thématiques liées à l’économie monétaire et financière. Spécifiquement, il s’intéresse aux systèmes bancaires des pays en développement. Soumaïla a des années d’expérience dans la consultation et aussi dans l’enseignement auprès de structures publiques et privées au Burkina Faso. Il est par ailleurs Attaché Temporaire d’Enseignement et de Recherche à l’Université Thomas Sankara. 

M. Woni a participé à la deuxième édition du programme Formation à la recherche pour jeunes économistes francophones (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2019 à janvier 2020) à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar au Sénégal.

Jonathan Silas YANGOUBINGUI Dimanche 

Université de Bangui

Bangui, République centrafricaine

D’origine centrafricaine, Jonathan Silas Yangoubingui Dimanche, est doctorant en sciences économiques à l’Université de Bangui. Il est titulaire d’un Master II Recherche en sciences économiques de la même université. Ses recherches portent sur les thématiques liées au développement durable. Spécifiquement, il s’intéresse à la problématique de la transition des énergies de cuisson en Afrique Centrale.

M. Yangoubingui a cumulé plusieurs expériences en tant qu’assistant recherche au Laboratoire d’Economie Rurale et de Sécurité Alimentaire (LERSA) où, en tant que responsable de salle des calculs, il est chargé de la saisie des données et d’analyse empirique des différents travaux de recherche. Il a également agi plusieurs fois en tant que consultant auprès des ONG nationales et internationales. Par ailleurs, il est attaché à l’enseignement comme un Assistant des cours à la Faculté des Sciences Economiques et de Gestion (FASEG) de l’Université de Bangui.

M. Yangoubingui a participé à la deuxième édition du programme Formation à la recherche pour jeunes économiste francophones (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, il a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2019 à janvier 2020) à l’Université de Dschang au Cameroun.

Claude Aline ZOBO

Université de Yaoundé II

Yaoundé, Cameroun

Claude Aline ZOBO est titulaire d'un Doctorat/PhD et d'un Master en Macroéconomie Appliquée obtenus à l'Université de Yaoundé II. Elle s'intéresse depuis plusieurs années aux politiques monétaires et de change, à l'intégration régionale, au commerce international, et très récemment au développement durable et au management public.

Actuellement enseignante-chercheure à l’Institut des Relations Internationales du Cameroun, et Chef d’Unité Chargée du Suivi de la Revue Camerounaise d’Etudes Internationales, Claude Aline a cumulé des expériences en tant que attachée temporaire de recherche et d’enseignement à l'Université de Yaoundé II, analyste économiste et chargée d'études à l'Afrique des Idées, analyste des données à l'Institut National de la Statistique et membre du comité de rédaction de la « Global Economic Review ».

Elle a également une expérience riche en volontariat et service communautaire réalisé au sein de plusieurs associations. Sa proximité avec les programmes nationaux et internationaux d’autonomisation des jeunes l’a conduit à créer en 2017 un Think Tank pour le rayonnement de la recherche en Afrique Centrale.

Claude Aline a participé à la deuxième édition du programme de Formation à la recherche pour jeunes économistes (FORJE) de l’OFE. Dans ce cadre, elle a effectué un séjour de recherche de quatre mois (octobre 2019 à janvier 2020) à l’Université Felix Houphouët Boigny à Abidjan en Côte d'Ivoire.